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Vous et les "psy" ?  
Verbatim : l'intégrale de vos témoignages
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Vous avez près de 400 à témoigner lors de notre enquête en ligne. Nous avons sélectionné certains témoignages (lire "Cinq histoires d'analyse") ou certains de vos commentaires. Mais nous tenions à ce que l'ensemble de vos histoires soient publiées, même de façon "brute", telle que vous nous les avez confiées, sans retouche de fond ou de forme. Les voici.

A " une séance...elle m'a dit qu'elle ne pouvait rien faire, qu'il fallait que je fasse une thérapie, à 35 km de chez moi,tous les mercredi...je ne pouvais pas, et elle ne m'a pas paru intéressée par mes pb...ca ne m'a pas vmt encouragée à continuer...il n'y a pas eu de suite... "

A. " J'étais petite, alors je me souviens que c'était très agréable: on me faisait faire des dessins et je pouvais jouer. J'aimais bien y aller. "

Adeline " Je suis en cours de thérapie et j'ai déjà appris à me respecter, à avoir moins peur des autres. J'apprend à communiquer, à écouter mes envies et mes désirs. J'apprend à vivre alors que pour le moment, je survie... "

agnes " j 'ai résolu des problèmes familiaux parents enfants avec un psy et mieux encore mes enfants en font fait de hautes études grâce à son aide psychologique alors que j etais seule travaillant avec un petit salaire et sans famille autour "

alex " cela m'a aidé un moment, mais il est parfois utile de reconsulter, c'est mon cas, une psychotérapie dure parfois longtemps. "

Alice " J'avais 20 ans lorsque j'ai fait ma premiére dépression et le psychiatre que j'ai vu ne m'a pas plus du tout. un peu plus tard, j'ai souffert d'agoraphobie et le psy qui m'a suivie était trés bien et m'a sortie de cette souffrance...Des années aprés, j'ai à nouveau fait une dépression et là, le psychiatre que j'ai vu, c'était l'horreur, il ne pensait manifestement qu'à son porte monnaie. Je le lui ai d'ailleurs dit. Et puis, j'ai rencontré un psychologue avec qui cela a tout de suite "collé". mon généraliste a lui aussi été trés présent. J'ai maintenant la tête hors de l'eau et je peux vivre enfin pleinement ma vie. Enfin! On peut s'en sortir! "

alisson " je suis toujour suivie par un psy depuit 5 annees maintenanant pour troubles alimentaire ,depression + d'autre maladie psychiatrique qui sont venue s'intriquez au fil du temp qui avance allez au psy sa ne veut pas dire guerir mais juste essaye d'avoir un soutient une oreille qui ecoute meme si des fois cela ne me fait aucun bien telement j'ai des probleme et que je suis dans la solitude la plus totale mais j'y vais quand meme toute les semaines bien que souvent des fois il m'arrive de ne plus vouloir y aller car je dit cela ne change rien a mes probleme et a ma souffrence mais jai deja fait 4 tentative de suicide et je sent surtout en ce moment que je me sent en train de craque encore une fois "

Ana " C'est le patient qui détient la clé et ce sont les mots qui ouvrent la serrure... "

Andora " Très jeune par un psychologue pour des problèmes de sommeil qui ont finalement révélés une angoisse liée aux disputes fréquentes de mes parents. "

Anne " Bilan très positif. J'ai préfértrouver des solutions à certains problèmes rapidement plutôt que de les laisser s'envenimer et gâcher toute ma vie... "

Anne " cela m a permis de comprendre mes reactions personnelles ,sentimentales et professionnelles par rapport à mon éducation et à des évènements de mon enfance . à les corriger pour mieux faire face et ne plus me laisser détruire "

anne " Cela n'a pas été trés bénéfique... Il n'y avait que moi qui parlait. J'étais jeune et je ne désirais pas parler de tout ça (Problème de poids) qui ne me dérangeait pas. Maintenant,j'aimerai y retourner voir une personne avec qui je me sens en confiance et pour d'autres problèmes. "

Anne " Excellent bilan si l'on est en confiance sinon aucune efficacité. "

Anne " J'ai été consultée un psy car ma vie sexuelle et mon désir d'enfant étaient ruinés par une agression subie lorsque j'étais enfant. Avant "d'ataquer" ce gros sujet, j'ai fait le point sur tous mes traumatismes de l'enfance : séparation de mes parents, belle mère tyranique, relations avec mes parents... Aujourd'hui, je ne regrette qu'une chose : ne pas l'avoir fait plus tôt, je me sens sereine comme je ne l'ai jamais été. Je me sens aussi très équilibrée dans ma vie privée, dans mes sentiments et n'ai plus peur d'affronter les rapports humains, même les plus complexes à construire. Je m'aprete d'ailleurs à devenir belle mère à mon tour puisque je vis avec un Homme qui a des enfants, et je ne m'aurais jamais cru capable d'affronter ce rôle avec tant de sérénité et de clareté sur ce que je ressens "

Anne " Je vais voir mon psy un peu comme on se fait accompagner par un coach pour traverser une période délicate. Quand il sent que je n'ai plus besoin de lui, il me le dit... jusqu'à la fois suivante. Il m'a aidée à arrêter de fumer l'année dernière. Je le vois en ce moment pour surmonter des difficultés personnelles et ne pas basculer dans la dépression. Pour l'instant, ça marche... Je trouve qu'un regard extérieur permet de prendre de la distance par rapport à ce qu'on vit, de le dédramatiser et de le relativiser, sans pour autant minimiser la souffrance que l'on peut ressentir. Cela remet les choses à leur juste place, surtout lorsque, comme c'est mon cas, il n'y rien de dramatique ni d'irréversible. "

anne Marie " j'ai trouvé ce qui n'allait pas en moi "

anne marie " une meilleure compréhension psychique de soi et des autres, une vie au présent et non plus une vie tournée sur les problèmes du passé. "

Anne-Laure " 2 ans de psy, bilan tres positif !..pour m en sortir de mes problemes graves de couple, et regler mon passé (abandonnée par mon pere....) "

Anne-So " J'étais suicidaire et dépressive. Je me haïssais. La moindre chose était une montagne pour moi. Je n'étais rien, enfin, je le croyais. Je suis allée voir un psychiatre. J'ai parlé, parlé, parlé et j'ai appris à vivre avec mes douleurs passées. L'angoisse et le mal-être que je ressentais ont disparus. Maintenant, je vis et j'en suis heureuse. Je ne me vois plus tel un petit point sur une grande feuille blanche, mais telle que je suis et je m'apprécie. Je prends la vie comme un don et j'en profite, croyez-moi. Je dois ma guérison à l'aide de mon ( ma psy en fait ) psy, sans qui je ne serais pas là. Il a fallu du courage et de la patience, mais ensemble, nous avons réussi ! "

Annick " je débute...seulement...Je suis atteinte de fibromyalgie et les médecins ne sachant pas soigner vous disent que c'est dépressif!!! Donc j'ai été voir un psycothérapeute pour leur faire un pied de nez!!! compte rendu du psy : je ne suis pas dépressive mais va tenter de m'aider à supporter les mots que me disent les médecins et il souhaite que je parle de ma maladie...Trouve que j'ai une certaine capacité à l'analyse. "

annie " bilan très positif puisque je m'en suis sortie au bout de 9 mois (la décision d'arrêter les "entretiens" a été prise par moi , - mes problèmes (d'ordres professionnels cumulés à ceux d'ordres privés -> fin d'un procédure de divorce très longue et pénible ),je sentias que je craquais. De toute manière, moi seule pouvais les résoudre mais il me fallait une aide exterieure (hors domaine familiale car on finit pas lasser ceux à qui vous parlez) et surtout neutre ..9 mois de thérapie m'ont permis de m'en sortir positivement et ce sans médicament (ce qui pour moi était primordial car je ne voulais solutionner un problème en en créant un autre : la dépendance médicale)..Quand j'ai dit autour de moi que je voyais un psy (cela a pris un certain temps) les opinions étaient partagées...Maintenant je n'hésite pas à conseiller mon entourage de faire ce type de démarche car souvent faire le choses tout seul, on a plutôt tendence à s'enfoncer "

annie " parcours trés difficile mais avec un psychiatre expérimenté "

Astrid " J'aimerais être suivie par un psy, mais quand on est étudiante et que l'on n'a pas d'argent, c'est extrêmement difficile, et jusqu'à présent malgré mes problèmes je n'ai pas réussi à trouver de place. Je trouve ca vraiment dommage. "

aude " je suis suivie par un psychiatre pour attaques de paniques, et depuis huit mois, je vais mieux, je suis une therapie comportementale cognitive "

audrey " je serai psychologue dans un an. je n'ai pas encore consulté, mais j'ai perdu ma mère il y a 10 mois, et je sais que j'ai besoin d'aide: j'irai consulter prochainement.A mon avis, un psy est nécessaire lorsque l'on n'arrive plus à faire face à sa souffrance, et chacun peut être amené à consulter un psy un jour ou l'autre. il faut juste avoir la force de reconnaître que l'on a besoin d'aide. "

Aurélie " Je suis actuellement suivie par un psy, depuis 2 ans pour être exact. Au départ pour une dépression et je continue malgré une forme olympique pour continuer de comprendre. C'est un luxe! Pour plusieurs raisons : quand on consulte un psychiatre (que je conseille à celles qui ont des problèmes trés douloureux, qui sont dans un état dépressif. Il ne faut pas craindre à un moment de prendre des médicaments anti dépresseurs, de la même manière qu'on se soigne pour la grippe)c'est remboursé par la sécu, et d'autre part c'est tellement agréable de prendre ce temps à soi, pour soi...Et puis c'est sympa de parler en couple, avec les copines ou avec sa mère, mais rien de mieux qu'un regard objectif sur sa situation. "

aurélie " Lors de mon adolescence, j'étais souvent en conflit avec ma mère, on n'arrivait pas à se parler. Elle m'a donc envoyée chez un psychologue. Et j'en ai de mauvais souvenirs, comme le jour où le psy s'est endormi alors que je lui parler. La psy ne m'a pas beaucoup aidée (n'a pas posé des questions pertinentes, elle coupait la séance alors que je commencais à parler d'un sujet "tabou" et difficile à aborder). Mais le fait de parler des choses qui me posaient problèmes, sans même avoir d'écoute m'a fait beaucoup de bien. La prochaine fois (si il y a une prochaine fois), je choisirais mon psy. "

aurélie " suite à une interruption thérapeutique de grossesse "

Aurore " Consulter un psychanalyste permet de revenir sur les origines de la souffrance afin de comprendre ses comportements avec autrui et assainir le rapport à soi et aux autres.. En fait, cela permet de prendre du recul sur soi-même, de se connaitre mieux et parfois d'anticiper dans une situation difficile "

Aurore " J'ai eu tout de suite un sentiment d'apaisement, le fait de se confier à quelqu'un en sachant qu'il n'y aura aucune conséquence négative, cette personne ne nous juge pas et on peut parler en vérité (chose que l'on ne peut pas se permettre de faire dans la vie courante, y a trop d'enjeu..). Au fil des séances, mon état intérieur s'est nettement amélioré et j'ai pu comprendre aussi pourquoi j'allais mal, j'ai pu mettre des mots sur mes angoisses, mes difficultés.....Aujourd'hui, je continue à voir un psy, ça m'aide à me construire et à me débarrasser de mes vieux démons de ma petite enfance. Bientôt, je n'en aurais plus besoin et je pourrais vivre ma vie de femme enfin libérée! "

Bernadette " Positif. Plusieurs fois. Utile à condition de ne pas s'enliser...Et d'éliminer rapidement les mauvais psy. Il y en a. "

bertille " j'avais peur la nuit et je n'arrivais pas à m'endormir maintenant ca va un peu mieux mais je ne suis pas entièrement guérie!! "

brigitte " c'est difficile, mais cela m'a beaucoup aidé "

carine " j'ai consulte 2 psy. la premiere a completement essayee de m'orienter dans une fausse route par rapport a mon probleme, et quand je sortais du cabinet, j'etais parfois plus deprime qu'en entrant. le deuxieme m'a aide a regler mon probleme sans jamais m'orienter ou me juger. je suis arrivee a mes conclusion et a regler mon probleme avec son aide, mais sans qu'il ne m'oriente. bilan tres positif pour celui la, qui m'a fait une therapie analystique, mais tres negatif pour la premiere qui etait une comportementaliste. "

Carole " bilan plus que positif. ça a changé ma vie. j'ai mûri et changé d'avis sur moi et donc j'ai beaucoup plus confiance en moi et d'assurance et cela me permet d'envisager le futur de façon plus sereine. Vraiment, ça devrait être remboursé par la Sécurité sociale, aucun doute là dessus pour moi. "

Carole " Cela m'a aider à faire le deuil de mon père décédé subitement vers mes 20 ans. "

Caroline " avec le 1er ça ne passait pas. Avec la 2ème ça a été une délivrance. Si un jour je dois refaire une analyse cela sera avec cette personne. "

catherine " grâce au travail effectué pendant 4 ans à raison de 2 à 3 séances de 3/4 d'heure par semaine, j'ai réussi à changer ma vie : me détacher de mon boulot puis le quitter, rencontrer mon mari, me marier et avoir un enfant, mieux gérer mes angoisses quand j'en ai encore, mieux savoir me protéger vis-à-vis de mon entourage et de ma famille qui avait tendance à m'envahir, bref j'ai trouvé ma place. Ce travail a souvent été difficile, et n'a été possible que parce que j'avais atteint un tel niveau de souffrance qu'il n'y avait pas d'autre solution à mes yeux. J'ai eu la chance de trouver et de choisir une psychanalyste exceptionnelle qui a su me guider parfaitement sur le chemin qui menait à moi-même. Je suis particulièrement heureuse et fière de cette experience. "

catherine " Il n'a pas correspondu à mes attentes.5 minutes de discution et une facture de35€,merci pour la conssulte tiroir caisse.Je me sentai prise pour un porte monnaie au lieu d'une patiente qui avait besoins d'une écoute professionnelle. "

Catherine " Je suis suivie par une psy. J'en suis très contente. La parole me fait beaucoup de bien. "

catherine " Je suis une maman de 30 ans avec un petit garçon de 5 ans, une vie privée un peu tumultueuse .....Je suis Infirmière et donc confrontée à l'écoute des autres et parfois j'ai du mal aussi à accepter ma vie avec ses joies et ses échecs... ..Je ne souhaitais pas pour autant me mettre sous antidépresseurs alors j'ai décidée d'aller consulter une psychologue...La seule solution pour moi acceptable était de commencer une psychothérapie afin de mieux comprendre mon fonctionnement à ce jour avec mes acquis lié a l'enfance (pour beaucoup)..Ma démarche est personnelle mais je la conseille à tous, notre Santé est un bien précieux qu'il faut savoir préserver, pour cela il faut que chacun en soit conscient, qu'il est la faculté de se regarder en face... ..Il est certain que pour notre Société investir ses deniers dans une psychothérapie n'est pas LA solution, en sachant qu'il existe une Sécurité Sociale qui rembourse la visite chez le médecin et les traitements prescrits ( antidépresseurs, anxiolytiques ...)... ..Ma fierté passe aussi par la non acceptation d'un état de fait ... ..Je voudrais que mon témoignage permette à ce qui ressentent le besoin de consulter un psy de franchir le pas même si dans notre Société il reste des gens non convaincus... ..Les" imbéciles" se sont eux et pas nous ... ..Quand pensez- vous?.. .. "

Catherine " Thérapie toujours entammée par force (cause état dépressif suite toujours à rupture sentimentale, fragilité émotionnelle). Thérapie et "orientation" décidée par mon entourage et toujours interrompue de ma propre initiative, soit suite à amélioration de mon équilibre émotionnel soit par manque de conviction de la nécessité de poursuivre le traitement et les consultations "

catherine " Très positif : je doute moins, j'ai plus confiance en moi, je suis plus équilibrée, je suis moins anxieuse, en bref, mieux dans ma peau. "

cathy " une dépression avec tentative de suicide j'ai etais suivi en hospital psy puis pdt 3ans . Bilan... je sais aujourd'hui faire face et me poser les bonnes questions celles qui ont de l'importances voilà!!! "

Céline " Ce fut un travail long, dur et douloureux mais ce qu'il m'a apporté est tellement énorme que je suis devenue une autre. J'ai confiance en moi et en la vie, je me sens forte, je suis capable de me sortir de toutes les situations difficiles ou douloureuses, je suis capable de comprendre les autres et d'anticiper les choses. Je suis aimée et reconnue. "

Céline " Jamais je ne m'en serais sortie sans l'aide de ma psy, elle m'a apprivoisée, appris à faire confiance et toujours soutenue pendant ma psychothérapie. Après 11 ans de mauvais traitements il m'a fallu du temps pour me reconstruire . j'avais la volonté, ma psy la patience, la douceur, la fermeté parfois, et la disponibilité toujours... "

Céline " je pensais que les spy étaient pour les gens qui avaient vraiment des problèmes, qui étaient dérangés. Après 1 an de spy, je me rends compte du bien que cela m'a procuré dans ma vie de tous les jours, je n'ai pas connu mon père et presque un secret d'état dans ma famille car il était marié. depuis 1 an, j'entretiens maintenant des relations plus étroites avec mes proches et surtout ma mère et grand-mère car j'ai su parler quand il fallait et ai réussi à pouvoir dire "papa" devant elles. Mais cette spy ne m'a pas aidé que pour ça : dire non à des proches, des collègues, prendre plus d'initiative et je me sens libérée d'un poids qui me rongeait depuis longtemps...en tout cas merci à elle. "

chantal " But des consultations (3 ans) anorexie et depression à l'adolescence. Résultat, plus de plb alimentaires, bcp moins émotive et plus sûr de moi. Le déblocage a pris du temps et se fait encore maintenant. "

christelle " j'ai consulté un psy mais c'était pour mon enfant. Elle en a déduit, aprés quelques scéances qu'il fallait que je fasse également une thérapie. Je n'ai jamais franchi le pas ! Peut-être la peur de fondre en larmes à chaque fois, et de remuer trop de choses..... "

christelle " pouvoir parler...libération par la parole, structuration de tout ce que l'on peut accumuler. Compréhension grâce à cette structuration. "

Christine " Bilan positif. Il m'a aidé à sortir de ma dépression "

christine " il faut beaucoup de courage pour franchir la porte d'un psy. car on ne s'est jamais, ce qui ce cache au fond de nous. "

Christine " J'ai consulté un psychiatre pour des séances de 20 mns et je devais lui raconter ce qui m'était arrivé la semaine avant la consultation. Je n'ai pas vu d'interet à cela et j'ai arrété. "

christine " j'en ai vu plusieur avant de rencontrer celui qui me convenait. je ne pense pas resoudre mon pb en quelques seances et c'est pourquoi j'estime qu'il faut un bon contact avec son psy pour pouvoir accepter de suivre une therapie "

christine " une meilleure lucidité sur l'interactif entre mon passé et ce que je vie aujourd'hui. "

Claire " Extrêmement positif, aussi bien lors d'une grave dépression il y a 15 ans, pour laquelle j'ai suivi une analyse que depuis, par rapport à des problèmes du "quotidien", pour lesquels je consulte régulièrement un psychiatre du type comportementaliste. Evidemment, il faut trouver le "bon" psy, c'est-à-dire d'abord par le type de psychothérapie qu'il propose (on n'a pas toujours ni tous besoin d'une analyse), ensuite par sa propre personnalité. Ce n'est pas une solution de facilité, cela peut parfois faire mal ou rendre un peu "lourd", cela doit toujours être un choix personnel, sauf cas de force majeure. Enfin, en tant que parents, il ne faut pas en priver ses enfants sous prétexte que consulter un psy est encore considéré par certains comme une preuve de faiblesse : reconnaître que l'on a besoin d'aide est au contraire une preuve d'humilité qui demande du courage. "

claude " je suis suivie deepuis 5 ans par un psy suite à un haecèlement moral sur mon lieu de travail.je ne travaille plus depuis un an je suis en arrêt maladie, et je ne compte pas reprendre mon emploi, je suis régulièrement hospitalisée dans un CHS tous les ans depuis 5 ans, je ne fais pas tout ça parce que ça m'amuse mais c'est une obligation par rapport à mon état de santé,le bilan est très bénéfique car je me sents plus en confiance et je vis grâce aux psychotropes que j'avale tous les jours "

colette " suite à la mort par cancer d'un enfant de mon entourage( je suis infirmière) j'ai sombré dans un tourbillon qui m'entrainait vers le néant.mon mari , mes enfants n'avaient pas les moyens de me bousculer pour me faire sortir de cet état.mais ils etaient là, impuissants.le medecin du réseau de soins paliatifs qui accompagnait ce jeune garçon devant mon état dépressif réactionnel , m'a conseillé de voir un psychothérapeute.J'y suis allée et ensemble on a dénoué des noeuds un à un.Avec lui , j'ai remis chaque chose à sa place et avancer sur des chemins moins perilleux.Ce psy m'a simplement aidé à utiliser mes ressources, m'a aider à trouver mes réponses.En 6 mois j'ai plus reflechi sur les autres , et moi même qu'en toute ma vie.je vais toujours le voir avec plaisir car il est devenu commme un complice de vie .Je me sens sereine aujourd'hui.j'ai accepté la mort de mon jeune ami et accepté le chagrin .Et toute ma famille est là. "

CORINE " effet très bénéfique car je me suis enfin trouvée, j'ose exister par moi-mm, je ne suis plus la fille ou la soeur de... je ne regrette pas "

CORINE " effet très bénéfique car je me suis enfin trouvée, j'ose exister par moi-mm, je ne suis plus la fille ou la soeur de... je ne regrette pas "

Corinne " bilan très positif, lorque l'on comprends le problème la solution est facile "

Corinne " Disons... que le premier psy m'a "sorti" de mes angoisses et d'autres problèmes "psychiques", mais la dernière puisqu'il s'agit d'une femme en l'occurence a eu un résultat catastrophique... et je pèse bien mes mots, la différence venant du secteur public pour cette psy, depuis j'évite à consulter de nouveau (c'est l'angoisse que d'y penser) !!! ce qui prouve pour ma part que le résultat est négatif même si il est vrai, qu'il ne faut jamais s'arrêter au premier thérapeute si le "courant" ne passe pas car ceci est très important pour un bon suivi !! "

Corinne " J'ai découvert de nombreuses choses sur moi-même, mon couple, ma famille, sur nos modes de fonctionnement. Je comprends mieux les autres et je me comprends mieux moi-même. Mais le chemin sera encore long et je continue... "

Corinne " J'ai été suivie par un psychiatre pendant 6 mois après le décès d'un proche. Bilan : il a essayé d'abuser de moi...J'ai ensuite consulté une psychothérapeute par le rêve éveillé. Bilan : 8 mois de séances mais coût très élevé et j'ai eu un bébé. Je recommande cette thérapie qui n'est malheureusement pas pris en charge par la sécurité sociale "

Corinne " Je me sent mieux et je vie maintenant pour moi et non pour les autres. "

corinne " J'étais saisie de telles angoisses que je ne pouvais plus répondre au téléphone, ni ouvrir ma boite aux lettres. Je ne sortais de chez moi que pour travailler. La foule m'angoissais si fort que je ne pouvais plus entrer dans un supermarché. Pouvoir en parler fut une libération et après quelques semaines je me suis retrouvée en train de faire des courses au supermarché aux heures de pointe. Il y avait plein de gens dans le magasin. Et même si j'étais tremblante, je ne me suis pas enfuie. Depuis chaque semaine, chaque mois mes angoisses s'amenuisent et certaines disparaissent. Un grand merci à mon psychiatre, je ne sais pas comment j'aurai fait sans lui. "

Danièle " Les problèmes de l'enfance sont évacués (plus ou moins facilement, ça dépend des personnes), et la vie de tous les jours est devenue moins oppressante, on sait mieux répondre soit aux gens, soit aux situations. On est moins agressive soit envers soi-même,soit envers les autres. C'est très bien et je ne regrette pas, bien au contraire. "

danielle " au début, très perturbant, tout est remis en cause avec toute fois la sensation d'être sur la bonne voie. C'est long, mais les bénéfices se font sentir assez rapidement et sont encourageant parfois et décourageant par moment. l'analyse nous emmène sur d'autres sujets que l'on pensait sans problème.... Et puis un jour le calme, une nouvelle assurance arrive, on relativise beaucoup plus de chose, rien n'est noir ou blanc, on est plus tolérant.. bref on va mieux ! "

Dany " J'ai pu relativiser mes problèmes, en particulièrement familiaux et "couper le..cordon ombilical" avec mes parents et dès lors je me suis sentie soulagée. "

Delphine " Ancienne boulimique vomisseuse. Suivi d'une thérapie comportementale durant 1 an 1 x par semaine. Très positif. Regain de confiance en soi, apprentissage du non, de mes besoins. "

delphine " bilan positif, j'ai été recadré et ça me permet de parler de moi sans culpabiliser de gêner les autres, ça m'aide à mieux me resaisir.Mais trop longtemps de psy devient néfaste parce qu'on devient égocentrique, et hors réalité. "

Delphine " Ca m'a sauvé la vie ! "

Delphine " Cela m'a ouvert les yeux, cela m'a donné du courage afin de prendre de graves et esentielles décisions, ça m'aide à trouverqui je suis et ce que je vaux. "

Delphine " Je suis actuellement suivie, ma cure analytique n'est pas terminée, je ne peux pas encore faire de bilan général, mais c'est d'un grand apport personnel. Cela dit, il faut bien comprendre que cela doit être motivé par son propre engagement, que c'est long, pénible et douloureux, et qu'il n'existe aucune garantie quant-à l'aboutissement "

Delphine " Je suis actuellement une psychothérapie depuis bientôt 3 ans. J'effectue un travail sur moi-même. Cela m'a permis de comprendre certaines de mes réactions, d'analyser mes relations avec mon milieu familial, professionnel et relationnel. J'ai appris à mieux gérer mes angoisses, les problèmes familiaux, ect...Je continue d'y aller car il me semble que je dois encore éclaircir certaines choses comme ma sexualité, un sujet difficile à évoquer avec un psy (le regard de l'autre...). Mais pour moi la psychothérapie me pose un problème angoissant que peut-être d'autres personnes connaissent : "Quand doit-on arrêter la psychothérapie ?" Prendre cette décision n'est pas facile. J'ai peur de devenir dépendante. "

Diane " besoin de se confier mais blocage, puis petit à petit la confiance s'établit "

Edith " suite au décès de mes parents - lorsque j'étais jeune..bilan positif "

elodie " j'y suis allée seulement 2 fois parce qu'il ne me plaisait pas mais m'a quand même permis de me questionner sur mes problèmes "

elysabeth " pas donné suite un peu déroutée car pas trop aidée après quelques séances c'est difficile de trouver le bon thérapeute. quelques évidences mises à jour mais pas de solution ou peut être celle que je refusais...... "

emilie " J'ai consulté deux fois. Une première fois à 17 ans, à ma demande, j'ai vu la psychothérapeute pendant un an mais j'étais un peu jeune pour affronter toutes les réalités qui surgissent quand on entame ce genre de travail. Aujourd'hui (j'ai 27 ans) je vois une psychothérapeute toutes les semaines depuis prés d'un an. C'est une démarche qui demande de la volonté et du courage. Ce n'est pas un moment passif, loin de là. Il faut être actif car le psy c'est pas le père noël, les solutions ne tombent pas du ciel. Il faut accepter de rompre avec une partie de ce qu'on a été et cela implique certaines fois des ruptures avec son entourage mais comme elles s'inscrivent dans une démarche qui a du sens, la souffrance qui peut en résulter est beaucoup mieux accepter. Je dirais que la thérapie donne du sens à nos actions et nos ressentis, et lorsque l'on comprend quelque chose on l'accepte beaucoup mieux. "

Emilie " Rien de sensationnel. Déja très dificile d'en trouver un de disponible avant des mois et savoir si c'est un "bon"?..Parfois on se demande s'il y a bcp de différence avec parler à un magnetophone, pour ce qu'ils répondent!!!..Mais ça fait peut-être un peu de bien quand même de parler de ses problèmes. ..Difficile à savoir. "

Emmanuelle " Je suis en cours d'analyse, avec une psychanaliste donc, depuis bientôt 6 ans. Deux conclusions s'imposent : ça a changé ma vie, radicalement et de manière très positive, et ça continuera de la changer, du moins je le souhaite. Une fois les premiers problèmes réglés, on en découvre beaucoup d'autres plus cachés, moins importants (pas toujours en fait), et chaque problème résolu est un pas vers le bonheur, ou du moins la paix intérieure. "

Emmanuelle " un effet radical, un changement de vie tres positif, et des souffrances acceptees et digerees. "

Eve " Oui, une 1ère fois, il y a 12ans, pendant 4ans, 2f/semaine.C'est une expérience intéressante et bénéfique qui permet de comprendre certains mécanismes inconscients qui génèrent un mal être. Parler permet de les faire émerger, de les analyser, voire de les dépasser. C'est un peu difficile au début, mais ça devient vite passionnant et c'est una aide véritable qui réduit considérablement la souffrance psychique...Ma 2ème epérience a eu lieu après le décès de mon père, où en plein désarroi et submergée par la dépression, je pense que je n'aurais pas pu m'en sortir seule. Ce travail a duré presque un an et m'a permis de reprendre pied dans une forme de vie moins douloureuse...C'est vraiment une "aventure" que je conseille à tous ceux qui sentent confusément que la souffrance est là, à l'intérieur, sans savoir comment s'en libérer. On hésite, à tort, à consulter alors que c'est la solution qui permet parfois de guérir de blessures qu'on ne soupçonnait même pas. La thérapie est adpatée aussi aux enfants. plus les problèmes se résolvent tôt, plus la vie adolescente et adulte sera pleinement vécue. "

F " Je suis tombée sur un charlatan qui a pris mon porte-feuille pour un fond de commerce "

Fabiola " A l'occasion probablement d'une dépression (non diagnostiquée par mon géneraliste),j'en suis arrivée à ne plus pouvoir sortir de chez- moi,j'avais des crises d'angoisses et des attaques de paniques...Par ex,je me préparais pour faire des courses déjà je metteis trés longtemps puis au moment de partir j'avais envie d'aller au toilette et celde manière répétéés ensuite nous arrivions sur le parking et là impossible ,je ne me sentais pas bien ,je disais à mon mari que me sentais au bord du malaise,alors nous remontions et 10mn aprés idem et pour en finir il allait faire les courses tout seul.j'avais 30ans et un enfant de 3 ans,je vivais en couple. A un point tel que je n'allais plus faire les courses,je continuais à aller travailler, (personne n'a été au courant sur mon lieu de travail)j'étais souvent en arrêt maladie pour diverse raison(angines,bronchite gastro..Jamais pour phobies).C'est mon mari qui lui même consultait une psychiatre et qui m'a poussé à consulter pour moi-même. La démarche a été trés dur , car la Psy n'était pas toute proche de chez-moi et j'avais de grosses angoisses pour m'y rendre il fallait prendre la voiture et je redoutais les embouteillages car l'idée d'être bloquée était insuportable et me déclenchais des crises.J'était trés trés malheureuse et je ne voyais pas d'issue.Aprés une bonne année de suivi,(Psychotérapie comportementale)environ 1 fois par semaine pendant un peu plus d'un an,mon état s'est amélioré progressivement puis un jour , j'ai décidé d'arréter.Depuis je vais beaucoup mieux,je remarque tout de même qu'en période de fatigue parfois dans un magasin je commence à me sentir mal,alors j'essaye de respirer calmement(parfois cela marche et parfois non,ce qui m'oblige a sortir).Mais cela reste des épisodes assez rares et contrôlés car je sais que je ne ferais jamais de malaises.Parcontre je reste claustro et dans un ascenceur je deviens terrible!!!!Heureusement que suis dans un pavillon. la conclusion,c'est qu'il faut absolument consulter car c'est une aide précieuse et que l'on arrive à guérir et reprendre gout à la vie .Il faut surtout se faire soigner dés les débuts des symptômes cela évite une grande souffrance.Moi j'ai attendu plus d'1 an et c'est dommage car je suis passée à cot^é de certaines dans ma vie familiale que je regrette. "

Flo " Lorsque la vie devient difficile à supporter parce que l'on s'invente des problèmes masquant des angoisses profondes, rien ne sert de découvrir les causes, car une fois trouvées, on n'est pas plus avancé. Les thérapies cognitives s'attachant aux solutions pour aller bien sont incroyablement plus efficaces que les analyses visant à détecter pourquoi on va mal. Plus rapide, moins cher, plus fiable, permettant de mettre au point des habitudes cérébrales utiles dans de très nombreuses situations. LAissez tomber les analyses, ça rend encore plus cinglé. "

Flocon " beaucoup plus de sérénité, j'ai retrouvé confiance en moi et je fais plus confiance aux autres. M'a aidé à parler, à discuter plus facilement avec des inconnus, que des avantages en tout cas... "

Flocon " beaucoup plus de sérénité, j'ai retrouvé confiance en moi et je fais plus confiance aux autres. M'a aidé à parler, à discuter plus facilement avec des inconnus, que des avantages en tout cas... "

Flore " je suis actuellement suivie par un psy...l'effet? un "meilleur-etre" largement notable et surtout une prise de conscience de pas mal de problèmes : donc une meilleure résolution ou tentative de résolution de ceux-ci... ..un bilan? de mieux en mieux dans ma peau et lucide sur moi-même! donc de mieux en mieux dans ma vie!.. "

florence " mortel "

Fouine " J'ai consulté un psychanalyste juste après une grave dépression. Le médecin m'avait plutôt conseillé de faire une psychothérapie, mais je sentais qu'il y avait des choses qui devaient sortir depuis très longtemps (j'ai un tempérament dépressif depuis toute petite...). Alors mes premières séances ont plutôt été consacrées à des plaintes nombreuses et variées, jusqu'au jour où j'ai commencé à changer, à parler beaucoup plus facilement de tout ce que je ressentais autour de moi, et même parfois un peu trop (je me suis assagie depuis !). Tout ce que j'ai pu dire au psy, je le savais déjà, et depuis très longtemps. Mais curieusement, le fait de le dire à quelqu'un que je ne connaissais pas, avec un regard détaché sur ma vie, a eu un effet très différent que celui de ressasser sempiternellement les mêmes choses dans sa tête. Cela m'a permis de prendre du recul, d'avouer certaines de mes erreurs qui me rongeaient de l'intérieur, un peu comme les confessions dans la religion chrétienne... La dépression et le fait d'aller voir un psy a également fait un choc à ma famille, mes parents en particulier. Ceux-ci m'ont alors parlé de certaines choses que j'ignorais: leurs propres peurs, leurs propres doutes et certaines de leurs "blessures", dont certaines étaient relatives à leurs propres parents, à leur couple ou à mon frère et moi. A partir de là, j'ai réalisé que la parole avait un pouvoir infiniment plus grand que je ne me l'imaginait, et que le silence pouvait faire des dégâts considérables. J'ai continué les séances pendant 1 an, toutes les semaines, puis j'ai arrêté pour cause de budget plus serré... En 1 an, j'ai énormément changé: plus confiante en moi, j'ai plus de facilité pour relativiser les choses, même si certains jours, la déprime me guette encore. Mais, comme on se muscle les bras et les jambes, la relaxation est elle aussi de plus en plus facile: plus on regarde les petits bonheurs de la vie, et plus cela semble facile... Ma psychanalyse ne fesait réellement que commencer lorsque j'ai tout arrêté, mais lorsque je pourrai me le permettre, j'irai à nouveau fouiller dans mon crâne pour définitivement m'apaiser et m'ouvrir sur les autres...Donc bilan très positif. Je ne peux qu'encourager celles et ceux qui se sentent patraques dans leur peau de trouver de l'aide chez un psy (et aussi ceux qui croient aller bien: je pense sincèrement que les personnes réellement équilibrées sont une très grande minorité. Pour s'en convaincre, marcher pendant 1/4 d'heure dans une ville et regarder vivre les autres. Je me demande encore comment la race humaine à fait pour survivre jusque là!). Le tout est de ne pas penser que cela ne sert à rien, et de trouver le bon psy (personne en qui on se sent en confiance, et méthode - thérapie ou analyse- qui correspond le mieux à son caractère ou à ses besoins). "

Francine " J'ai vu beaucoup de psy différents dans ma vie. J'y ai souvent trouvé des aides ponctuelles mais jamais à tittre définitif. Je reste persuadée qu'il faut continuer à travailler en permanence sur soi quand on est dépressif ou qu'on l'a été...Aujourd'hui, je vais voir un psy qui m'apprend à m'aimer. Le chemin est difficile mais je pense y arriver un jour. "

Franck " c'est un processus long, mais très puissant, qui vous apporte un réel bien être, pour peu que la personne s'en donne la peine... les événements de l'enfance ne ressortent pas facilement, il faut leur laisser le temps de ressurgir à la surface, il faut les accepter, les apprivoiser, pour mieux les dépasser.......en conclusion, je dirais que cette démarche devrait être accessible à tous ceux qui en ressentent le besoin, c'est une médecine comme une autre, on se soigne le "cerveau" comme on soigne une tendinite, c'est le même processus..===============================..Dans votre question numéro 7, vous distinguer mal à mon avis les différentes démarches possibles : il existe en effet deux grandes familles : les thérapies (en face à face) et les analyses (sur un divan) "

Françoise " cela m'a permis une remise en question totale, une prise de conscience des problèmes personnels, des problèmes dans mon couple. Le psy m'a aidé à analyser au fur et à mesure des séances tout le vécu de mon enfance. Bilan très positif au bout de deux ans, je revis, épanouie dans mon couple, j'ai "digéré" tous les problèmes vécus enfant qui m'ont déstabilisés adulte. C'était un psy sexologue qui m'a suivie, très à l'écoute du patient, sans brusquer le déroulement des séances. Il ne faut pas hésiter à consulter finalement avant que tout s'écroule dans un couple. "

Françoise " Dépression nerveuse à 29 ans, excellent thérapeute, pas de rechute mais un terrain toujours fragile même à 63 ans ! je viens de lire le livre de Ph. Labro : à lire et à méditer ! "

Françoise " j'ai vécu des evênements difficiles dans ma vie, rapprochés (divorce, hospitalisation longue d'un enfant, puis décès de mon père), et je n'arrivais plus à avancer. j'ai fait une psychotérapie pendant 1 an et demi et maintenant je vais très bien, j'ai pris un nouveau départ: je suis détendue avec mes enfants, j'ai repris mes études à 40ans, je suis célibataire et épanouie, bref, je me suis rarement sentie aussi bien dans ma vie. pour moi, c'est très positif de travailler sur soi, ça fait avancer et grandir "

fred " suite à une dépression qui m'est tombée dessus sans que je sache ce que c'était d'où çà venait, pourquoi moi, pourquoi maintenant !..je suis donc allé consulter un psychothérapeute suite aux conseils du généraliste...je suis en train de remonter tout mon passé pour trouver les causes de cette souffrance qui ressort. "

frederique " cela m'a fait beaucoup de bien lorsque j'ai perdu mes grand-parents sinon je ne vois pas l'utilitee d'y retourne ou alors il faudrait que la raison soit vraiment valable.un gros coup dur par exemple. "

Géraldine " et je consulte encore : j'ai eu qques très mauvaises expériences car j'allais tellement mal que je n'ai pas pu quitter ces psy(eux auraient dû reconnaitre leur incapacité à m'aider et le mauvais choix de leurs méthodes pour soigner, c'était notamment en thérapie de groupe que je me suis fait très très mal, une vraie secte) puis ensuite j'ai contacté par le biais d'une association, un cabinet de psychologues/psychanalystes spécialisés dans les pb que j'avais et cela s'est avéré être (enfin et après de grosses souffrances non seulement liées au mauvais choix de psy que j'avais fait mais aussi liées à mon mauvais état psychique) le bon choix, une vraie écoute, pas de miracle mais une vraie compétence, une vraie empathie et de la douceur aussi. "

ghislaine " bilan nul aucun résultat pas d'osmose entre lui et moi plutôt un rejet réciproque "

ghislaine " Quand il y a un décès dans ma famille ou belle-famille, je n'arrive pas à le surmonter . cela me ramène à mon enfance où j'ai vu ma mère dépérir par un cancer qui la rongeait. J'avais 4 ans...puis elle est décédée, on me l'a toujours cachée. Elle n'a pas été remplacée, et elle me manque toujours énormément, malgré mes 45 ans. Ma belle-famille ne me comprends pas . j'ai fait deux dépressions . j'ai été suivie par un psy pendant trois ans . mais, à part le fait de me faire ressasser mon enfance malheureuse, je n'ai pas l'impression d'avoir avancé, d'avoir " grandi " ! "

guillaume " Ma famille et mes amis je les appelle :..les y a qu'a faut qu'on.... PAS MON PSY..cette démarche est natuelle,je suis issu d'une culture anglo-saxone "

Helène " Cela m'a permit de poser mes fardeaux..De renouer avec moi même..de mieux gérer mes relations avec les autres..Et d'en finir avec des soufrances enfoui..d'être mieux...IL y a un moment ou il faut savoir se poser...Quand tout va bien, et que malgré tous on est mal c'est qu'il est temps d'agir...Si j'avais su je l'aurais fait plus tôt ..Les 3 premiers mois sont très durs car on attend toujours d'être très mal avant de consulter...Ma psychoterapie a été bénéfique sur tous les plans...Professionnelement, pour mes enfant, mon conjoint et surtout pour moi...Je ne vois pas l'interêt de continuer à souffrir et cela est une bonne raison pour consulter... "

Hélène " C'est un passage très dur, car il faut arriver à trouver ce qui vous rend fragile, dépressif. Il faut savoir remuer les bons, comme les mauvais souvenirs ce qui n'est pas toujours évident. Vous avez souvent l'impression de ne pas avancer, que cela ne sert à rien sur le moment, que l'on ne vous comprend pas. C'est vrai qu'être dépressif ce n'est plus une honte aujourd'hui, mais vous avez quand même le regard des autres qui pèse parfois. Le bilan pour moi, n'a été ni positif, ni négatif. Certaines personnes de mon entourrage me disent que cela a été positif. Moi, du regard que j'en ai, je n'ai pas l'impression que cela ait été positif. Aujourd'hui, je rencontre à nouveau psychologue, psychiatre pour ma fille de 14 ans et demi suite à une annorexie, une boulimie et dépression. J'ai également l'impression que même si l'on rencontre beaucoup de personnes dont c'est le métier, si ne nous sommes pas prêt à vouloir sortir de ce mal être, ces personnes ne peuvent rien. "

Hélène " Je fais actuellement une thérapie depuis 2 ans. Cela m'a fait prendre conscience des causes de mes problèmes et ça m'aide à me libérer du poids des angoisses de mes parents qui ont rejaillies sur moi. Le bilan est plus que positif, je n'ai que 24 ans, mais c'est pour moi une libération et une manière de trouver qui je suis vraiment et ce que je veux. "

Hélène " j'en suis au tout début .. DOnc pas grand chose à raconter .. Mais en ce quiconcerne, j'avais besoin d'exprimer ce que je ressentais sans retenue, mes réflexions mes angoisses .. Avec le psy je peux le faire, et ça me fait du bien.. "

Hélène " TB, intéressant et positif, utile. RAS : c'est un spécialiste comme un autre, le tout étant d'établir un bon contact avec lui. "

ingrid " pas réussi a faire plus de 2 séances, le psy étant trop "passif" "

isabelle " Cela fait toujours du bien de parler en toute franchise de ses problemes personnels afin de trouver des solutions ou des conseils afin de vivre en toute sérénité...Le bilan cependant est pour ma part très moyen car je pense que nous sommes reellement seul face à nos problemes et qu'il faut tout simplement faire de gros efforts d'adaptation et un certain courage pour quitter ses illusions et accepter finalement que certaines choses ne peuvent pas etre modifiées ni controlées.Le psy n'a qu'un role d'assistance le plus gros travail est une prise de conscience personnelle de ce qui se passe et de palier aux conséquences. "

isabelle " il m'a simplement enseigné une technique de relaxation par visualisation mentale qui bien qu'efficace dans certaines situations stressantes n'a en rien résolu mes problèmes. Mais je ne désespère pas de trouver le professionnel qui m'écoutera... "

Isabelle " J'ai suivi des téhrapies dites parllèles, plutôt du style anglo-saxon et beaucoup plus basées sur l'émotionnel et le physique que ne peut l'être la psychanalyse "à la française", qui est elle plus portée sur le mental. Ces thérapies m'ont permis de me libérer des émotions ou des attitudes négatives emmagasinés depuis l'enfance, telle que la colère, la tristesse, le sentiment d'être une victime, le manque d'estime de moi et de confiance en moi. J'ai appris à accepter ces émotions dans un premier temps, puis à les évacuer et à les remplacer ou les transformer. Tout est une question d'utilisation de l'énergie. En parallèle, j'ai aussi renforcé mon estime de moi, car c'est la base pour être plus à l'aise dans la vie quotidienne et se donner le droit d'aller dans la direction qu'on veut dans la vie. "

Isabelle " Je n'ai eu que 3 séances car j'avais un problème précis à régler et il m'a aidée à comprendre mon comportement avec des mots et des images simples. "

isabelle " voir mon psy c'est toujours difficile (j'ai jamais trop envie d'y aller) mais c'est une aide précieuse pour remettre dans l'axe les choses essentielles "

ivy " pour moi et mon mari, parlez nous a soulagé "

je ne préfère pas le donner " Je suis suivie par un psychiatre depuis environ 5mois et je me sens plus forte depuis. J'ai eu des problèmes de santé qui ont entraîné des problèmes familiaux et mon psy m'a aidé à surmonter celà ou plutôt m'a aidé à réaliser que je pouvais surmonter tout celà grâce à moi et à ma famille.Depuis tout va bien. En fait, il a fallu que je me retrouve dans une situation assez difficile pour que je réalise enfin que j'avais plus de chance et de possibilitées dans la vie que ce que je m'imaginais, et qu'il ne fallait surtout pas gâcher tout celà!!! J'ai un travail trés intérressant et une famille qui m'aime et que j'aime aussi trés fort. Je me sens tellement mieux qu'avant, tellement plus sereine et même si c'est surtout à moi que je le dois, je le dois aussi à mon psy!!!Voilà je voulais juste faire part de mon expèrience et surtout dire aux femmes qui ressentent un certain mal-être et un besoin de parler qu'il ne faut surtout pas qu'elles hesitent à consulter!! Il y a une chose importante à ce sujet , c'est qu'il faut, pour avoir envie de se confier à un psy, que celui-ci vous plaise! Enfin, je ne veux pas dire qu'il faut qu'il plaise physiquement biensûr que non, mais il est bon de ressentir une certaine sympathie pour lui ou elle! Il ne faut pas s'arrêter au fait que vous ne vous entendez pas avec lui ou elle, il faut allé en consulter d'autres jusqu'à ce que vous trouviez celui ou celle qui vous inspire confiance!!! C'est trés important d'aller parler à quelqu'un avec qui vous entendez plus ou moins. Je ne parle pas de devenir ami avec son psy, mais bien de ressentir une certaine sympathie pour lui ou elle ce qui favorisera le dialogue et la confiance et le fait que vous vous exprimiez plus facilement. "

Jo " J'ai été suivie par un psy "malgrè moi" après une déception sentimentale qui a vraiment mal tourné... Moment de faiblesse...d'égarement ! Je suis une femme de caractère, et la dépression "n'est pas dans mon tempérament". Quand j'ai repris le dessus, j'ai arrêté d'initiative psy et médicaments.Je n'avais suivi que 2 ou 3 séances où j'étais la seule à parler.Ca m'agaçait de réfléchir dans la salle d'attente à ce que j'allais lui dire ! Cela me demandait un véritable effort que je n'avais pas envie de déployer à l'époque. J'ai compris très vite que les solutions, avec ou sans psy, viendraient finalement de moi. Le praticien , à mon avis, joue essentiellement ce rôle de révélateur. Il n'apporte pas les solutions, mais aide à les puiser en nous... Pour moi, comme cela me paraissait d'emblée évident, j'ai tourné très (trop ?) vite les talons. La vie a repris, avec ses peines et ses encouragements.... J'ai tiré de cette époque une certaine force, mais je ne suis pas sûre de la devoir à un psy... Davantage à la vie et à ce que je suis.... "

jocelyne " j'ai consultŽ plusieurs psychiatres lors de ma sŽparation avec mon mari, je cherchais en premier lieu ˆ parler de ma souffrance, mais je voulais aussi Žviter de me complaire dans mon r™le de femme abandonnŽe , comme il ne parlait pas ou trs peu, sinon pour me retourner un mot, une petite phrase, et c'Žtait trs rare, je me sentais frustrŽe de ne pouvoir plus extirper ce que je ressens rŽellement , j'aurais souhaitŽ plus un dialogue mais les deux psychiatres que j'ai consultŽ ne parlaient jamais quelquefois par exemple quand je disais que telle situation me perturbait, il me posait une question "ah oui, pourquoi cette situation vous perturbe ?" il me semble que je n'arrive pas ˆ parler comme ca dans le vide j'ai besoin que l'on m'extirpe certaines choses car j'ai du mal ˆ parler de choses qui m'ont blessŽes ou traumatisŽes, et lˆ je trouve que le psy ne force pas assez ., car je tourne autour du pot o je ne parle jamais de ce qui me fait mal. j'attends de lui qu'il le dŽcouvre. je ne veux pas passer des annŽes ˆ consulter, je voudrais avancer et rŽagir positivement pour que ma vie reprenne un sens, et je n'ai pas eu d'aide de la part des psys. "

julie " Plusieurs psys qui m'ont aidée à différentes étapes de ma vie, mais il faut être un minimum stable pour approfondir une thérapie, être prêt à parler de tout ce qui dérange. "

Karen " Je suis très contente d'avoir fait cette thérapie. J'ai pu trouver d'ou provenaient mes angoisses. J'ai appris énormement de choses sur moi ce qui m'a permis de prendre confiance en moi. J'ai souhaité arrêté car j'ai trouvé les réponses aux questions que je me posais mais je souhaite un jour reprendre cette thérapie pour aller encore plus profondément dans mon analyse. mais ca c'est quand je serai prête car la thérapie est quelque chose qui parfois fait souffrir et il faut être prêt psychologiquement. "

karine " Ca n'a pas résolvé mon problème initial mais ça m'a permis de découvrir et de résoudre un autre problème enfoui depuis trop longtemps. "

Karine " Ma psy est la plus belle rencontre que j'ai jamais faite... c'est elle qui me fait grandir, avancer, qui m'aide à vivre tout simplement avec les conséquences d'un passé difficile... Certains parlent de dépendance . moi, c'est ma béquille et mon bol d'air quand mon moral n'arrive pas à respirer... Je dois penser à m'en passer mais pour le moment, elle m'aide à combattre certaines choses et il faut savoir se faire aider quand c'est nécessaire... Seul face à ses angoisses, il est difficile d'analyser de façon neutre... "

Karine " psychiatre: aucun effet. il ecoute 1/2h chronometree point a la ligne. psychologue: certains souvenirs resurgissent en cours ou apres une seance. dialogue positif. il pousse a dire les choses, il les "fait venir". en fait c'est une psychologue. "

karine " tres positif "

KATIA " Je pense que tout le monde devrait faire une psychothérapie pour apprendre à mieux se connaître. Pour moi ça à été un vrai sauvetage car j'étais victime d'attaque de panique et de crises de spasmophilie, en un an j'ai réappris à construire ma vie et à passer ce cap difficile entre l'adolescence et l'âge adulte.Il faut se trouver une thérapie qui convienne : j'avais essayé un psychiatre mais je suis restée bloquée face à son silence . ensuite je me suis dirigée vers une psychologue et là avec divers jeux de rôles je me suis peu à peu libérée de mes maux, le dialogue s'est instalée et le travail sur moi même à pu commencé. Que du positif avec un seul GROS bémol : les scéances chez un psychologue coûtent environ 50 € et ne sont pas remboursées, c'est paradoxal en calculant l'argent économisé pour les tranquilisants, les anti dépresseurs, les anxiolitiques... qui ne font que dissimuler les problèmes !!! "

laetitia " g reussi a mettre des mots et a affronter un probleme perso ( abus sexuel )..g repris confiance en moi..g un regard plus objectif sur les hommes ..je suis plus lucide sur mes choix..je vais recommencer a travailler..et je vais surement divorcer ..j ai retrouve de meilleures relations avec mes parents "

Laetitia " J'ai été voir à quelques occasions une sophrologue : elle m'a permis d'y voir plus clair à un moment où je nageais dans le flouet où je me sentais mal. Ca m'a permis de mettre des mots sur mes maux et d'évacuer mes angoisses. Mieux qu'un psy(comme je l'imagine) puisque les séances diraient en moyenne 1h-1h30. "

laetitia " résultat nul "

Laëtitia " J'étais en grande détresse, j'avais besoin de voir quelqu'un IMMEDIATEMENT. Il a fallu attendre longtemps avant qu'elle puisse me rencontrer (elle avait un planning trop chargé). J'ai fait une tentative de suicide entre-temps. Je l'ai vue après. Bilan : je vais bien mais je doute que ce soit grâce à elle. "

Laëtte " Depuis 2 ans je vais voir un psy une fois par semaine. La 1ère année sous forme de thérapie, et depuis la seconde j'ai entamé une psychanalyse...Pourquoi cette démarche pour moi qui était très loin de ce monde là... j'ai longtemps pensé que c'était pour les fous...Ravie d'avoir sauté le pas, cela je le dois à mon entourage, des rencontres... je me suis apperçue que autour de moi j'avais des amis qui allaient voir un psy... et ils n'étaient pas dingues !..Quelques années + tard, entre pb sentimentaux, questions professionnelles, doutes, remise en cause... la trentaine et l'évidence qu'on est dans la vie et que c'est pas si facile de n'être plus l'enfant, l'ado, la jeune adulte et pas encore ... et pas encore quoi ? la femme, la mère... bref questionnement auquel les amis ne suffisent plus... trop complaisant peut-être... non c'était moi qui l'étais surement...Voilà... je suis en psychanalyse et je découvre qui je suis, ce que je veux, le pourquoi du comment... enfin petit à petit... mais quelle découverte de soi et des autres. "

Laure " Cela fait juste 1 an. Ca va mieux, mais je rechute régulièrement. "

Laure " Le psy, un bilan très positif, à condition de ne pas attendre un effet magique( on ne se transforme pas. Le sprincipaux éléments de satisfaction pour moi ont été une disparition des sensations d'angoisse, une dédramatisation, une prise de recul, et enfin la capacité à se projeter sereinement. "

Laurence " J'ai consulte unpsychologue puis un psychiatre, a present seulement un psychiatre, car j'etais stressee a cause de mes cours a la fac.En fait, mon stress venait de qqch d'hereditaire (qui se manifeste de differente facon chez les parents, comme la depression), donc je n'ai pas eu besoin d'aller continuer a parler a un psychologue, car les medicaments preparent mon corps a recevoir le stress, que je suis prete a recevoir psychologiquement. Donc un bilan tres positif : apres 3 semaines de medicaments, ma vie a change. Je suis un peu stressee a present, mais de maniere tres raisonnable, et j'arrive a beaucoup travailler sans m'inquieter tout el temps, et a mieux m'amuser aussi, et je suis beaucoup plus heureuse! "

laurence " j'ai déjà fait appel au service d'un psychotherapeute pour régler un problème de culpabilité par rapport au fait que j'ai pris la décision il y a 4 ans de couper toutes relations avec ma mère. Ceci pour mon bien et celui de mon couple et mes enfants. Cela n'a pas été facile au fond de moi, car étant moi-même mère de famille, j'avais beaucoup de mal à effectuer cette démarche. Je culpabilisais. La psychotérapie que j'ai faite à base de sophrologie m'a aidée à me déculpabiliser et à mieux vivre le fait que je n'ai plus aucun relationnel avec ma propre mère. Pour mon bien je me suis donnée les moyens de couper ce lien fort qui peut exister entre une mère et une fille, et qui n'est pas forcément toujours positif. ..Mon mari a également fait cette démarche 4 ans après avoir perdu sa mère. Un mal être s'était installé en lui, petit à petit car il n'avait pas fait le deuil de sa maman...au début il était très rétissant, car pour lui aller voir un psy n'était concevable que si on était fous !..maintenant il va mieux et a compris que ces personnes disposent de techniques pour nous aider à aller au délà de ce que l'on pense au fond de nous... "

Laurence " J'ai été suivie mais j'ai suivi aussi!Cela m'a permis d'évoluer,de reconnaître mes désirs,de retrouver l'équilibre...de plus penser par moi-même,en dépit de la réalité si souvent complexe mais si riche!De vivre mieux et de répandre du bien-être autour de moi...! "

Laurence " Le bilan est très positif car cela m'a permis de faire le point sur moi même et de comprendre certains des mes actes. Maintenant j'arrive à mieux gérer mes émotions et à prendre plus facilement du recul par rapport aux évenements qui peuvent survenir au quotidien. C'est un travail long, parfois éprouvant mais qui je pense est nécessaire pour s'épanouir complétement dans la vie. Du moins cela a été mon cas. "

Laurence " Par un psychiatre ( trop connu): une vraie catastrophe! puis par un psychiatre psychanaliste et là une vraie thérapie qui m'a beaucoup aidé à remonter la pente. Maintenant je me sens forte et ais la capacité d'afronter les problèmes de la vie sans m'effondrer. J'ai du arrêter mon analyse à cause d'une mutation mais je compte bien y revenir pour terminer le travail! "

Laurence " Un bien fait au niveau des eclaircissements de certains problemes professionnels et familiaux, une remise en question sur une bonne base sans chercher sur de fausses pistes "

L'Eau Vive " Eh bien, ça permet d'avancer dans la vie, avec une béquille, mais enfin, ça permet d'avancer... "

Line " J'en ai vu 4.Mais 5 minutes chacun. Je trouve qu'ils ne servent à rien. Ils sont souvent plus angoissés et plus mal dans leur peau que leurs patients. Ils se cherchent déjà eux-mêmes. "

Lisa " J'ai cessé par manque de moyens... Les scéances commençaient à être "productives",et les quelques unes déjà effectuées (6-7) m'avaient apporté pas mal de réponses. "

Lise " J'ai eu l'impression de poser les problèmes à plat : que mon psy m'écoute longuement m'a permis de chercher mes mots, de me sonder profondément mon mal-être, de parvenir enfin à le définir et à en trouver les causes. Contrairement à un ami, un psy ne donne pas de conseils, il écoute simplement, il oriente votre réflexion jusqu'à ce que vous mettiez le doigt vous même sur ce qui ne va vraiment pas, tout au fond de vous...Mettre le mot juste sur ma douleur, comprendre de quoi je souffrais exactement, au delà des symptômes visibles, a été un pas essentiel dans ma "guérison". Le reste est venu tout seul. ..aujourd"hui ça va mieux, je ne consulte plus, mais je garde en mémoire tout que j'y ai appris sur moi même et qui me sert aujourd'hui à mieux vivre. Cela m'a été d'un grand secours. "

lise " je suis toujours suivie par 2 psy 1 pour les tts et l'autre pour l'analyse..souvent je n'ai pas envie d'y aller car les jours qui suivent sont sombres et violents mais j'avance ou je regresse suivant les phases je ne peu plus en parler avec mes proches alors oui il faut trouver 1 deversoir en le payant c'est moins culpabilisant et ça contient j'epargne egalement ma famille mon fils 13 ans commençait a dire que c'est l'horreur d'ere 1 fille ça devenai dangereux de les mettre dans cette position d'auditeurs "

LL " de réelles prises de conscience..donc pret à changer ...et je suis un homme !!..C'est le début d'une merveilleuse aventure (interieure) "

loulou " je suis toujours en analyse et toujours en dépression depuis 1 an mais cela s'ameliore.Cela fait du bien de parler mais il ne faut pas se leurrer,les médicaments y sont aussi pour quelquechose.Pourtant je ne dit pas tout a mon psy et je sais qu'il faudrait si je veux vraiment arriver à m'en sortir. "

Lucile " Je fais face à mon vécu, je l'accepte sans le renier, je lui tourne le dos sans l'oublier et je m'appuie dessus pour avancer. Je vis, je suis heureuse et quand la vie me contrarie, je sais relativiser. C'est le résultat d'une psychanalyse intensive qui a fait de moi une femme sereine, forte et pleine d'espoir. ..Lucile.. "

Lysa-Marie " J'ai ressenti le besoin de consulter parce que je me sentais au bord de la dépression (manque de sommeil, plus de goût à rien, répercussion sur vie sociale et professionnelle, mal de dos insoutenable) et malgré des "autotentatives" de reprise en main, rien à faire impossible de redresser la barre.J'ai demandé conseil à mon médecin traitant qui m'a donné des noms. J'ai vu tt d'abord un psychiatre. Il me laissait parler sans intervenir pendant une heure. J'ai suivi 2 séances et ai abandonné. Je ne me sentais pas à l'aise. J'ai tout de suite pris contact avec une psychologue, pour ne pas abandonner une démarche que j'avais mis du temps à mettre en oeuvre. Je l'ai vue une fois par semaine pendant environ six mois. J'ai raconté plein de choses, ce qui me passait par la tête parfois, ce qui me touchait, troublait, faisait mal. Elle intervenait peu mais juste ce qu'il faut pour m'amener plus loin dans mes réflexions. J'ai arrêté parce que c'était cher (40 euros la séance) et parce que je n'avais plus rien à lui dire. Elle souhaitait d'ailleurs me faire aller plus loin à travers une psychanalyse, je n'en n'ai pas vu l'intérêt et ai préféré arrêter là. Au bout de quelques semaines, j'avais besoin de ces séances comme d'un exutoire et puis au bout d'un moment c'était devenu inutile. Mais j'ai beaucoup réfléchi, j'ai fait la paix avec moi-même. J'ai appris à accepter mon histoire, mon passé, ma fammille. Appris à vivre avec. Puisque je ne peux rien changer de tout cela, il faut vivre avec autant que faire ce peut. J'ai repris confiance en moi. Ce que je ne parvenais plus à faire toute seule. Et rien que pour cela, il fallait le faire. J'ai appris à relativiser beaucoup de choses. Peut-être que j'avais simplement besoin d'une oreille attentive et neutre qui m'écoute sans juger, ou simplement d'être rassurée sur le fait que j'avais le droit d'aller mal pour les raisons qui étaient les miennes. Ca ne faisait pas de moi quelqu'un d'infréquentable ! "

M " actuellement...depuis 1 mois ... pour l'instant je suis sceptique...je trouve qu'elle ne réagit pas assez, ne me parle pas assez, ... ca viendra peut etre ! "

Magali " je n'ai pas été suivie très longtemps (deux mois de thérapie puis suivi par téléphone car j'avais déménagé) mais le rapport a été génial avec la thérapeute et je pense que le bilan a été très positif, ça m'a aidée à surmonter les problèmes (avec mes parents & mon ex-petit-ami) que je connaissais alors. "

Marianne " J'ai fait une psychothérapie d'inspiration psychanalytique pendant 8 ans. Cela m'a permis d'aborder mieux l'ensemble de mes problèmes personnels, et à gérer mes angoisses. "

marie " 6 mois de suivi dans le cadre d'un accompagnement d'une maladie grave et incurable. Mon psychiatre déménage en province et je n'ai pas l'intention de recommencer avec quelqu'un d'autre. L'effet positif au bout du compte ? J'ai appris à profiter de chaque jour même en ne faisant rien si je suis fatiguée...Je passe ma licence de philo parce-que dans mon cas il vaut mieux être philosophe...Et ça grâce à ce psy qui m'a regardé sans complaisance mais avec bienveillance...Une rencontre avec un vrai humain. "

marie " difficile d'établir une relation de confiance "

marie " effet 100% bénéfique , mon seul regret ne pas avoir consulté avant !!! "

Marie " Négatif voire néfaste. J'en sortais souvent plus mal qu'à mon arrivée car je n'ai jamais pu trouver de réponses à mes angoisses du moment. J'ai toujours eu de mauvaises expériences avec quel que psy que ce soit... et ils sont nombreux. Je crois qu'il suffirait souvent de se confier à un/une ami(e) proche ou non pour voir un peu le bout du tunnel se dessiner. On attend trop des psy et c'est encore plus terrible de se sentir incomprise par des soi-disant professionnels. "

Marie " Positif ! Grace à cela, je me suis sentie mieux et cela à fait l'effet boule de neige dans ma relation aux autres... si on se sents mieux au fond de soit-meme, le reste suit! J'ai meme incité mon mari lorsqu'il a eu une crise d'eczema... et de nouveau : comme il avait réglé ces incompréhensions, il se sentait mieux et moins agressif... toute ma petite famille s'y est retrouvé mais c'est vrai que la démarche est tabou! "

marie yvonne " Plusieurs années, en "fractionné". Il m'a encore fallu attendre quelques mois pour me retrouver vraiment, apaisée, sereine, vivante et surtout indulgente envers les autres et moi même. "

Marie-Claude " J'ai commencé à aller voir un spécialiste pour notre fils de 7 ans (il en avait 6 au début), car il avait des problèmes d'angoisse que nous n'arrivions plus à gérer...Nous y allons tous les trimestres pour faire le point, mon fils et moi, et une fois par an environ,nous y allons en famille...Ceci pour dire, que d'élever des enfants n'est pas chose simple, et que de se faire aider n'est absolument pas honteux, et peut même "guérrir" de vieilles blessures enfouies au plus profond de soit, et qui justememnt entrave la "bonne éducation" que l'on peut donner à nos enfants!..Personnellement je continue à aller voir ce spécialiste pour qu'il m'aide à aller dans le bons sens, même si je sais, il n'existe pas de solution miracle!! chaque être est unique, chaque famille à son histoire, et il faut arriver à composer avec tout ça, en plus de la personnalité de chacun, ce qui n'est pas toujours aisé.....J'admire ces gens qui arrivent à comprendre "les problèmes" et qui surtout les dédramatisent tout en rassurant et en étant réalistes et positifs. "

Marie-France " J'ai été contrainte à consulter un psy lorsque la dépression, profonde, m'est tombée dessus , sans crier gare ( du moins , mon entourage et moi,n'avions pas pris garde des signes avant -coureurs.C'était en septembre 1995 et je vais mieux depuis quatre mois seuèlement après avoir fait 3 tentatives de suicide ! Je suis toujours suivie i fois par mois par mon psy et par une psychologue, qui travaille en liaison avec le psychiatre, mais si ce dernier ajuste les traitements allopathiques il ne pratique pas l'écoute et je m'en trouve très bien.J'ai bien sûr été hospitalisée durant un mois mais je n'ai pas eu le sentiment que les soins prodigués aient eu un quelconque effet, si ce n'est ceux de m'assommer...Si je devais faire un bilan de tout ce dont je viens de parler, je dirais qu'il faut absolument consulter un psy dès qu'on est en perte de vitesse, dès qu"on n'en peut plus!" Les médicaments permettront de remettre la personne sur les rails, mais cela demande du teps. Pour étayer ce traitement, il est donc tout aussi imprtant de consulter un psychologue qui va aider le malade à s'exprimer et à faire ressortir des évènements, enfouis, parce parfois très graves. Je voudrais tant que mon message soit entendu...Ceci dit, je sais fort bien que je suis fragile, que la dépression est une sale bête qui ne vous lâche pas du jour au lendemain, mais croyez-moi, je retrouve la vie, je retrouve les miens et la vie est belle ...oh!oui! "

Marie-Laure " Cela m'aide de parler, de "vider mon sac" quand je n'en peux plus (problèmes familiaux avec les enfants par exemple ou soucis professionels tel que stress au travail)...J'ai aussi eu besoin de l'aide d'un psy lors du décès de ma mère qui m'a profondément affectée (là, il a fallu l'aide des médicaments). "

Marina " Je vois un psycotherapeute depuis 7 ans et m'a vie a complêtement changé. Pour moi c'est quelquechose qui est indispensable pour certains problèmes, et qui peut vraiment donner des resultats. Je le conseille vivement autour de moi car les resultats sont extraordinaire. Il faut du courage, de la patience, mais c'est très positif au final! "

marion " sur le moment, je ne comprenais pas l'utilité mais ensuite j'ai vraiment compris et sur le moment ca m'a aider a sortir de ma depression, par l'expression orale. sans que je sache pourquoi, en murissant on comprend. c'est un processus personnel d'auto prise de conscience, en general on s'enfonce dans ses propres probleme, le psychologue est la pour nous proposer des questions que l'on doit se poser a soi mëme et prendre conscience de nos probleme ou de leur origine. Mais seule nous même sommes capable de ce processus de conscience de soi. Le psy est en quelque sorte le coup de pouce. Par contre il y a des psy différents et il faut trouver celui qui nous convient. "

Marion " Tout d'abord, je ne supportais pas l'idée d'avoir besoin de quelqu'un pour m'aider dans ma vie privée. Je pensais être suffisamment forte pour ne pas avoir à étaler ma vie à un quelconque inconnu...Puis un jour je me suis rendue à l'évidence que je n'en pouvais plus, que je n'arrivais pas à joindre les 2 bouts et qu'il fallait vraiment qu'une tierce personne m'écoute pour me faire entrevoir mes vrais problèmes. Alors j'ai passé le pas et j'ai consulté : j'ai pris mon annuaire et j'ai trouvé à côté de chez moi une psychanalyste sofrologue. Après 6 mois de consultations, dans un premier temps intensives puis plus espacées, j'ai vraiment réussi à reprendre confiance en moi, à voir ce qui n'allait pas, à me reprendre en main ! Bien sûr, cette personne ne m'a pas donné une formule magique pour tout régler, mais des pistes qui permettent d'avancer par soi-même ! et en plus on a l'impression de s'aider soi-même, pas de se faire aider ! La sofrologie est un plus pour réussir à gérer ses émotions, son stress. Ca, c'est vraiment bien ! Ca revigore ! ..Pour conclure, il n'y a rien de plus courageux que de s'avouer que nous ne sommes pas des Dieux, mais de simples hommes perdus dans la jungle urbaine et que parfois, ou tout le temps, on peut être amené à avoir besoin qu'on nous remette sur les rails ! Parce qu'il y en a des mauvais chemins ! "

MARISSINA " Oui, psychologue, psychiatre et psychotherapeute à differentes époques de ma mie...Célà à été vital pour pouvoir m'en sortir des situations dont je pouvais y laisser ma sante "ma vie", car la culpabilité qui est projeté par l'autre, quelles soit les circonstances, détruit...Grace à ces thérapies, j'ai pu réaliser que j'éxistais! et que j'avais le droit de ne pas porter le poids du monde, bien qu'en gardant la lucidité et le coeur...J'ai reussit à prendre "ma vie" en main et je me suis donné le droit de pouvoir me tromper!..Célà m'a permis de comprendre mon entourage et apprendre la tolerance car l'amour je l'avais déjà...Ensuite, toute cette connaisance, m'a permis de l'offir aux autres! "

Marlène " Un an à tourner en rond, quelques problèmes ont émergé, sans être forcément résolus. "

Marriig " J'ai ete suivie par une psy extraordinaire, pendant environ 3mois a raison d'1/2h par semaine. J'avais 18ans a l'epoque, et mes relations avec ma mere etaient impossibles! Elle m'a donc 'envoyee chez la psy'. D'une 'punition' l'experience est devenue voyage a la quete de moi meme. Du fait de la duree tres courte des seances, j'ai appris a m'ouvrir aux autres. La psy a 'ouvert les vannes' et m'a explique beaucoup de choses sur mon comportement. Aujourd'hui encore, je me sers de certains de ses 'trucs' pour mieux me comprendre... Cette excellente psy m'a appris a m'affirmer, a m'accepter, et a agir pour moi meme au lieu d'agir en opposition a des gens, des choses... ..Je n'ai revu une psy qu'une fois, 3 ans plus tard, plus pour un encouragement qu'autre chose... Mais je suis prete a repasser la porte si je doute trop. Je crois qu'il est dommage d'exclure l'aide qu'on peut recevoir. Parfois les resultats sont surprenants! "

martine " Un avis eclairé quant au noms scientifiques mais je suis mon instinct pour le reste, je me connais et j'agis en concordance avec c e que je ressens "

Martine " Sortie de la dépression..Tout allait mal depuis 8 ans, mais là tout allait très mal: je maigrissais à vue d'oeil, je pleurai, ne sortais pas.....Il m'a dit que j'allais mal et ça a été le début du mieux: enfin quelqu'un qui ne me dit pas que je me regarde trop le nombril..Ca a pris 4 ans, puis quelques séances de révision..Aujourd'hui tout baigne, mais je sais que je suis fragile "

Melanie " suite au deces de ma mere....parler, ca m'a beaucoup aide "

Mélanie " Ca fait maintenant 10 ans que je vois un psychiatre, et grâce à elle j'arrive à vivre avec des repères sans laquelle je ne serais plus de ce monde aujourd'hui. C'est pour ça que c'est important pour moi, je suis en dépression constamment. "

Michèle " Enseignante, suite à des problèmes relationnels qui "viraient" de +en+ régulièrement à l'obsession, j'ai entrepris il y a plus de 2ans, une thérapie analytique et actuellement, c'est grâce à ce "travail"(que je poursuis) que je suis capable de gérer ma vie ! et aussi étonnant que cela puisse paraître à qui n'a pas entrepris un tel "travail", je découvre qui je suis vraiment je me rends compte que je l'ignorais !..Donc, mieux vaut tard que jamais ! "

Michelle " En fait, je travaille dans l'administration d'un hôpital psychiatrique universitaire de Lausanne (Suisse) après avoir débuté comme secrétaire de médecin chef et j'ai ainsi appris à démystifié la psychiatrie et comprendre combien elle peut être utile "

Michelle " Excellent résultat en 6 mois sur une sévère dépression (médicaments + dialogue, pas de psychanalyse) "

Monique " Apré ma troisiéme déprime(divorce et aprés divorce),pendant un an j'ai consulté,j'allais mieux je me suis donc arretée de moi meme,et depuis 12ans tous va bien. "

monique " Ma vision du monde a changé en ce sens que je me suis incorporée le monde "

Monique " Positif. Au moins on se sent moins seul lorsqu'on en a trop a porter dans la vie. "

Muriel " En tout, thérapie de étalée sur 2 ans (entrecoupée d'une longue interruption de 8 mois). Cela m'était nécessaire car très dépressive à ce moment-là et depuis tout va bien. "

Muriel " J'ai 14 ans et si j'ai suivi un psy c'est pour des problmèmes d'attouchement et il ne m'a aidé en rien! Ridicule "

Murielle " J'avais besoin de m'exprimer, j'ai parlé, je pense que cela m'a aidé "

nassou " c'est très bien et ça vous aide énormément "

Nathalie " Aucun, je resous mes problèmes en discutant aavec mes amies "

Nathalie " Bilan positif et bénéfique "

Nathalie " j'ai emmené ma fille chez un pedopsy pour des problèmes de sommeil, le problème a été efficacement réglé en 3 séances. "

Nathalie " J'ai fait une psychanalyse complète (6 ans, 3 fois par semaine). C'est certainement le meilleur investissement (en temps et en argent) que j'aie jamais fait de ma vie "

Nathalie " Je n'ai eu le courage d'aller qu'à une seule séance, elle a réveillé trop de choses enfouies, de mauvaises pensées et continuer m'a fait très peur. J'ai trouvé cela vraiment très difficile. "

NATHALIE " Je venais de divorcer et n'avait pas fait encore la coupure, je situais bien le problème et il n'a pas pu faire quoi que ce soit car moi seule pouvait tourner la page....malgré tout j'ai été assez déçue car il ne m'a été d'aucune aide "

nathalie " j'en vois un en ce moment et part rapport aux autres que j'ai consulté celui ci est formidable on parle de tout de rien de la vie et par ce biais je dois parler de moi mais sans m'en rendre compte. Voila, je conseil à tous d'aller consulter si ils ont un doute avec eux un mal être. Il suffit juste de trouver le bon. "

Nathalie " Reprise de la confiance en soi..Plus de culpabilité par rapport à des évênements survenus "

Nathella " Je n'ai pas terminé mon analyse, mais je vais à ma rencontre chaque semaine. C'est une réelle transformation, apprendre à être à sa propre écoute. "

NICOLE " a la suite d une dépression (suite au décés de mon père) j'ai eu une descente aux enfers et pour m en sortir j ai eu recours à un an de psychothérapie psychanalityque . Cela m a permis d'abandonner les médicaments, de faire le point sur moi, d'ouvir les portes du passés et de comprendre beaucoup de choses. Jen ressent encore aujourd'hui les effets car 20 ans après j'ouvre des portes moi m^^eme. ma pschychotérapie a duré un an "

Nicole " J'ai consulté un psychiatre durant 5 ans puis après 2 ans d'arrêt, je n'ai pas hésité à y retourner suite à d'autres problèmes. Je suis arrivée à consulter en urgence suite à des signes de somatisation importants qui allaient m'empêcher d'aller travailler et d'assumer mes 2 enfants (divorcée). J'avais été déjà bien "inondée" de médicaments par des généralistes. Au bout de 6 mois, plus aucune somatisation. Ayant exploré au cours de cette analyse la petite enfance et ayant déjà fait du ménage, je me suis passionnée pour faire le ménage complet ! Certes ce n'est pas toujours facile et on ne ressort pas toujours au top niveau après une séance. Mais cela m'a énormément apporté au plan professionnel (recrutement, contacts avec des collègues) et également dans la vie courante (contacts plus aisés avec les autres, moins de jugements hâtifs etc..)Cela m'a permis d'élever seule mes 2 enfants mais de mener à bien des projets qui me tenaient à coeur dont le dernier : quitter une ville ou j'ai vécu 30 ans pour aller m'installer à 54 ans sur la Côte d'Azur et y retrouver un autre travail.Changement préparé minutieusement et réfléchis ! Bilan hyper positif. "

nicole " "Qu'entendez-vous par « psy » ?..- psychiatre ?..- psychologue ?..- psychothérapeute ?..Je pense qu'une explication s'impose avant tout, car souvent les gens confondent et ne savent pas à quel « psy » se vouer…....Les personnes qui « consultent » sont très souvent malades, de maux très différents, le travail de l'un peut être complémentaires l'un à l'autre, ou même aux autres dans certains cas...Cela a été nécessaire pour soigner une anorexie chez une de mes filles...C'est une question aussi de mises en confiance, et de « dureté » des thérapies...Les effets ont été surprenants et très divers...Elle est maintenant sortie de ce « cauchemar »...Mais l'entourage est souvent très important et le travail « personnel » très dur....." "

odile " effet positif un mieux niveau mental moi stressée "

Pascale " Je suis actuellement une analyse depuis 10 mois. Une décision prise après beaucoup de moments difficiles dans ma vie et qui, accumulés et non dits, se transforment en véritable douleur et vous empêchent de savoir qui vous êtes, ce que vous voulez, où vous allez....au quotidien...Je suis arrivée sur ce canapé avec deux valises que je souhaitais vider très rapidement, plus j'avance plus les valises se sont transformées en grands sacs poubelles (500l au moins) où à chaque séance, j'ai l'impression de rajouter un petit paquet oublié. Même si cette période est très douloureuse, il faut pleurer, faire confiance car je suis certaine qu'elle me permet et me permettra d'avancer en sachant mieux qui je suis et ce que je veux. Chaque cas est différent, les douleurs varient, mais si le psychiatre connait son boulot, il vous aidera à allumer les lumières intérieures pour y voir un peu plus clair. J'ai 41ans et j'ai deux adorables enfants de 17 et 9 ans. Voilà... "

Patricia " Très positif, cela m'aide encore. "

patrick " positif "

pauline " Je suis toujours en psychanalyse. J'ai commencé par une thérapie, l'année dernière, suite à des problèmes de couple. Mon ami avait des pbs psy (agoraphobie, angoisses) qui avaient des répercussions sur moi. Je commençais moi aussi à être angoissée et déprimée. j'ai jugé que j'avais besoin d'aide pour comprendre ce qui m'arrivait. D'autant que, pour moi, je n'avais pas choisi cet homme au hasard et je pensais que cela était sûrement lié à ma propre histoire. J'ai donc débuté une thérapie avec un psychiatre qui m'a ensuite proposé (au bout de trois mois) d'entrer en analyse. Ce que j'ai accepté après une courte période de réflexion. Cette démarche ne m'avait jamais semblé, de toutes façons, inenvisageable. Je vois donc mon psy régulièrement depuis un an, deux fois par semaine, sur le divan, et je suis très contente. Je trouve qu'il y a déjà beaucoup de choses qui ont changé positivement en moi. Je suis plus libre, plus tolérente envers moi-même et les autres. J'ai eu le courage de quitter mon ami et je me sens plus forte. Je sais que j'ai encore du chemin à parcourir avant d'arriver au bout de mon travail analytique. Je passe parfois par des moments difficiles (une analyse, ce n'est pas une partie de plaisir mais un regard lucide et sans complaisance sur sa vie) , cela me demande aussi un gros effort financier, mais je sais que le jeu en vaut la chandelle et je n'ai pas l'intention d'arrêter. "

roberte " une thérapie de groupe à un pénible moment de ma vie.beaucoup de larmes et de vécus enfouis et qui ont pus être expliqués.Je suis maintenant très à l'aise avec tout le monde et très bien avec moi-même.Il y a 10 ans que j'ai fini ma thérapie. "

Romy " Bilan très positif, j'étais dépressive, angoissée et je faisais de fréquentes crises de spasmophilie . après un bon traitement et quelques mois de consultation, tout va pour le mieux, et je suis maintenant guérie depuis un mois...Ne pas négliger pour autant le soutien de la famille. "

Rozenn " Au début c'est toujours difficile de se confier à quelqu'un mais je pense qu'en cas de probléme et souffrance il faut savoir parler.Moi ça m'a fait beaucoup de bien et j'ai beaucoup plus confiance en moi.Alors un conseil si vous souffrez n'hésité parlez en autour de vous a une personne proche ou à un psy :c'est pas pour les fous c'est pour tous le monde . "

Sabine " J'ai consulté plusieurs psycologues et un psychiatre. Mon psychiatre m'aidée à mettre des mots sur mes souffrances et à vivre avec (viols dans la petite enfance ...). Les psy ne sont pas là pour vous changer mais pour vous apprendre à vivre et essayer de construire quelque chose...Aujourd'hui, je n'ai pas oublié ce qui m'est arrivé mais je fais en sorte de vivre avec et surtout de ne plus envisager le suicide aussi régulièrement. Maintenant, je suis moins agressive envers les autres et j'arrive mieux à extérioriser mes émotions . mes relations avec les autres se sont donc amélioriées. "

Sacha " Je suis encore suivie par un Psychiatre psychanaliste...L'effet : un bien être qui, certes connais des hauts et des bas (je n'ai pas encore tout réglé!)et un bilan positif, tès positif puisque seule ma psy m'offrre une telle liberté de parler, de penser, de m'expimer comme je le fais. On a beau dire, on ne va pas voir un psy parce qu'on est fou/folle, ce préjugé n'est plus d'actualité, mais bien pour soi, rendre sa vie moins pénible et donc être mieux avec soi et les autres...Dernier point, je ne compte pas rester sur le fauteuil (et non sur le lit : encore un a priori!)toute ma vie, encore un ou deux ans, et voilà!! "

sandra " depression reactionnelle "

Sandra " Voilà 6 ans que je vais voir régulièrement (2 x/mois) "mon" psy. Les moments où tout va bien je lui parle quand même et je crois que cela lui fait plaisir lorsque je lui raconte les meilleures choses qui arrivent dans ma vie. Quant aux coups durs que l'on croisent sur son chemin il est plus qu'important d'en parler. En fait je m'apperçois que puisque je n'ai pas de "meilleur(e) ami(e)" je pense que "mon" psy remplace un peu ce manque. Je ne suis pas encore prête à ne plus la voir ... affaire à suivre "

Sandrine " A l'aube de la trentaine, j'ai décidé de suivre une psycothérapie, et je m'y tiens depuis 1 an. Les petits démons du passé venaient perturber ma vie de couple. Je n'étais pas en paix avec moi-même, emprise de beaucoup de colères. Depuis quelques mois, je me sens beaucoup mieux. Ce besoin d'introspection a été tout à fait bénéfique. Je me sens plus sereine, beaucoup plus épanouie dans ma vie de femme et de mère. Se connaître mieux permet d'appréhender les choses de la vie avec lucidité et responsabilité. Et puis on parvient à détermniner ce dont on a plus envie, dans le plus grand respect de soi. Le seul soucis, qui n'est pas des moindres, est la distance et l'imcompréhension qui s'installe dans le couple quand l'autre n'avance pas au même rythme. Quand l'un des deux débute un travail personnel, il me semble important que l'autre suive le pas sinon on se sent très rapidement en décalage et une éventuelle séparation peut vite pointer le bout de son nez ! Mais là, c'est une autre histoire "

Sandrine " Durant ma 2ème grossesse, de multiples souvenirs du passé me revenaient à l'esprit. J'étais troublée, comme perdue, sans cesse à me questionner et ces visistes chez la psychologue m'ont aidée à trier mes souvenirs (pas toujours très bons), et à les analyser...Quand des situations semblent floues, c'est bon d'avoir l'avis sérieux d'une personne extérieure sur la chose et même si l'on n'est pas toujours d'accord, c'est toujours positif de mettre à plat les problèmes que l'on rencontre. "

Sandrine " Je suis en psychothérapie depuis un peu plus de deux ans et j'ai énormément évolué. Je me sens beaucoup mieux. J'ai plus confiance en moi et je profite mieux de la vie et de tout ce qu'elle m'apporte. Toutes les personnes de mon entourage proche me trouvent changée. Je n'ai pas terminé le travail sur moi-même mais les résultats sont déjà étonnants. "

sandy " pendant 1an et demi, toutes les semaines je voyais un psy mais uniquement pour des raisons juridiques j'en garde un très mauvais ouvenir parce qu'on faisait un rapport de tut ce que je disais...pendant des nombreuses années je ne voulais plus voir un psy bien que je faisais des dépressions c'est seulement depuis le mois dernier donc (6 ans et demi plus tard) que je suis retournée voir un psy. "

Séverine " bilan positif, le psy fait effet de miroir sur vous-même et vous permet de prendre conscience de son fonctionnement pour éviter des schémas de répétitions négatifs "

Sonia " Il m'arrive de conseiller à des personnes qui n'arrivent pas à trouver de réponses aux questions qu'ils se posent sur eux-même, sur leur vie et qui les rendent male dans leur peau...J'ai consulté 2 fois une psychologue pour un problème de couple. Quand j'en suis sortie j'étais débousolée, frustrée. J'attendais des réponses de la part du psy. C'est lors de la seconde scéance que je me suis rendue compte que c'était, moi seule, qui détenais les réponses. J'ai la chance de savoir prendre du recul, me poser des tas de questions et annalyser ma situation. Se qui m'avait manqué, c'était l'écoute d'une personne exterieure à ma vie. Ce que j'ai apprécié chez cette psy, j'avais l'impression quelle me comprenait rien qu'en m'écoutant. Et je suis resortie de cette consultation légère et bien. "

sophie " mauvais bilan.psy qui ne met pas du tt a l'aise, qui ne favorise pas la parole pour un interlocuteur qui comme moi se confie jamais.donc j'en ai essayé 2 mais pour l'instant je m'arrête car là car je trouve ça très saouloant de reraconter ts ses pb a chaque fois.mais par contre si je décide de ne plus tenter de psy,je ne sais pas quoi faire pour m'en sortir autrement. "

Sophie " Mon suivi psychothérapique pendant 5 années a été très bénéfique mais parfois une hospitalisation en milieu spécialisé est parfois nécessaire... ce qui a été mon cas. Le bilan : je suis très épanouie à présent ! je peux vivre normalement, quel soulagement. Je suis sûre à présent qu'en cas de problème, je n'hésiterez plus à consulter. J'encourage tout le monde à faire de même. Il ne faut pas laisser les problèmes récurrents trainer ! "

Stephanie " Blocage psychologique lie a l'enfance - Depression a l'adolescence - Mal dans ma peau - ..A l'adolescence, je pleurais a chaque contrariete. Je n'arrivais pas a me defendre - Je n'arrivais pas a me detacher de ma mere - Je suis allee voir un psychologue et me souviens que la premiere seance a ete catastrophique car il ne parlait pas du tout. Il a fallu que j'exprime mes problemes et suis sortie en pleures. Au bout de 5 seances, j'allais deja mieux car il a su m'expliquer les raisons de mon blocage "

Stéphanie " Après avoir suivi 1 an et 1/2 de psychothérapie, je n'ai pas le sentiment d'avoir beaucoup avancé. J'aurais souhaité avoir des résultats tangibles. Si c'était à refaire j'aurais suivi une thérapie comportementale qui aurait été plus concrète et moins longue. "

Stéphanie " De puis 3 ans je suis en psychothérapie pour divers maux psychosomatiques. Cette thérapie associée à un traitement médicamenteux et une kiné Mézières font qu'aujourd'hui mes douleurs ont diminuée de 90% "

Stéphanie " une seule séance. La sensation de parler à qq'un qui m'était inconnu et qui me considérait comme une inconnue, alors quel'on (que je ) parlais de chose archi personnelles. Le décalage était trop grand. Je me suis dis "autant parler de mesproblèmes à une amie (ce que je faisais déjà). Résultat, je suis sortie en sachant que j'avais pas envie de retourner dans ce bureau étriqué. Et que ce n'était pas cette inconnue qui allait résoudre mes problèmes. Je devais compter sur une seule personne: moi. "

sylvie " Le pas le plus important est tout d'abord de s'avouer que l'on a besoin d'aide et que les médicaments ne résolvent pas tout...J'ai consulté un psychothérapeute qui emploie une méthode dite "psychanalogie structurale informationnelle", c'est-à-dire un travail au travers de 10 blocs : la mère, le père, l'oedipe, la mort etc...)..Cette méthode est facile d'accès car on répond très rapidement, sans réfléchir à des questions posées par le thérapeute . il n'y a pas de monologue face à un psy...On a l'impression d'avancer très vite, et on arrive à décortiquer séance après séance son inconscient...Personnellement, j'ai ressenti énormément de choses, on passe par des moments d'euphorie intenses et parfois par un certain découragement. Il faut apprendre à parler à son entourage (souvent nos parents) afin d'éclaircir certaines choses. En effet, notre inconscient a souvent des réactions qui ne correspondent pas à la réalité, j'ai pour ma part du poser certaines questions à ma mère, et croyez moi ce n'est pas toujours facile...Pour conclure, je pense que chaque individu devrait vivre une telle expérience, c'est très constructif et l'on "grandit" à n'importe quel âge... "

une "psy" " Je n'ai jamais été suivie par un psy mais je pense que votre questionnaire ne peut pas donner une vue compléte de ce pourquoi et dans quel contexte les individus sont susceptibles d'aller "voir un psy"... ..Les questions 3, 4 et 5 sont très orientées... on peut par exemple aller voir un psy ni par faiblesse, ni par égocentrisme ni par lucidité ni par courage... Certaines personnes sont orientées vers des psychologues, des psychiatres sans avoir réellement fait le choix de cette orientation. Ces personnes peuvent être orientées par une institution médicale : par exemple un médecin ou un hopital va proposer mais très souvent obliger une personne qui a fait une tentative de suicide à rencontrer un psy, les personnes qui ont subit un traumatisme peuvent consulter un psy...des enfants en échec scolaire peuvent être orienté vers de psy... etc... ....La question 10 est bien en revanche car très peu de gens font la distinction entre les différents types de "psy"...Le rôle du psychologue, du psychiatre ou encore psychothérapeute sont très différent... .. "

val " j'ai appris à travailler sur moi et surmonter ma douleur, je suis devenue adulte avec mes propres idées, avec une sexualité épanouie, et j'ai appris à tirer le positif des événements, même de l'agression dont j'ai été victime...je me suis rendue compte que mon angoisse de la mort peut être un moteur pour vivre chaque instant comme un cadeau. "

valerie " ca fait du bien de parler et cela oblige a se poser des questions qui permettent d'avancer "

valerie " cela m'a parmis de ne pas sombrer encore plus bas et de constater que mes problèmes étaient relativisés par rapport à ceux des autres. la thérapie de groupe aide à parler et à se rendre compte qu'on est jamais seule, mais cela ne m'a pas aidé à résoudre mes problèmes, peut être à les comprendre, c'est déjà pas mal, mais il faut la volonté de vouloir s'en sortir et ce n'est pas facile mais en parler c'est déjà un pas de fait. "

VALERIE " Pas d'effet positif, il n'y avait pas de dialogue avec le medecin. "

Valérie " 10 ans de divan m'ont permis d'une part de sortir d'une dépression qui menaçait ma vie entière (impossibilité de prendre les transports en commun, insommie ou hypersommie, pleurs incontrôlés, colères, évanouissement au travail, j'en passe et des meilleurs), d'autre part de retrouver ma vraie personnalité avec ses forces et ses faiblesses et d'être capable de vivre avec en bonne intelligence. Sans ce travail, je n'aurai jamais pu rencontrer celui qui est devenu mon mari et encore moins avoir ma fille. Néanmoins cette démarche est longue, douloureuse, déstabilisante, parfois tout aussi angoissante que le syndrome dépressif lui-même. Avec le recul, je crois que c'est l'envie de vivre qui m'a permis au delà de toute cette souffrance de poursuivre cette démarche, mais le jeu en valait la chandelle. "

valérie " A la fin de la thérapie l'impression d'une renaissance, d'une légèreté. La possiblité aujourd'hui de vivre avec moi même, comme je suis, sans toujours craindre le regard des autres. Beaucoup plus de courage. "

Valérie " pour une dépression grave + TS "

Véronique " C'est parcequ'il n'arrivait plus à me soigner que mon médecin généraliste m'a orientée vers un psychiatre. Je dois dire que le choix qu'il avait fait ne m'ayant pas plu, j'ai abandonné mes rencontres avec ce spécialiste après deux rendez-vous. Malheureusement ma dépression, puisqu'il s'agissait bien de cela, s'est aggravée. Je me suis une nuit retrouvée dans un établissement psychiatrique après une tentative de suicide et c'est dans ce service que j'ai rencontré le psychiatre qui m'a "sauvé la vie". Pendant sept ans, sans déroger, je me suis rendue aux rendez-vous qu'il fixait lui-même. Les séances duraient de 3/4 heure à une heure selon mon état, séances pendant lesquelles je répondais à toutes les questions qu'il me posait même les plus intimes. Il s'agissait d'une psychothérapie. Assorti d'un traitement lourd au départ puis plus léger au bout de quelques dizaines de mois, ce traitement m'a progressivement fait sortir de cet état incontrôlable qui m'attirait vers une mort certaine. Aujourd'hui je suis guérie. J'ai repris mon travail après cinq années d'interruption. Je n'ai plus aucun traitement médicamenteux et vis une vie paisible sans angoisses. Il arrive parfois que, comme tout un chacun, je ressente des moments de faiblesse morale et dans ce cas là, sans hésiter, je prends rendez-vous chez mon psychiatre pour lui en parler. En général, une seule consultation suffit à m'éclairer et me redonner du courage. Pour moi, ce support est devenu un confort de vie. Le bilan que j'en fais est un bilan plus que positif car souvent je me dis que je n'aurais pas perdu 7 ans de ma vie si j'avais consulté plus tôt. Je pense que nous avons tous, un jour ou l'autre, besoin de parler à ces spécialistes de l'âme et merci à eux de croire en nous. "

Virginie " Quand je suis allée voir un psy j'étais complètement perdue, je ne savais plus où j'en étais cela m'a permis de faire le point sur mes réels désirs et de les réaliser. Cette thérapie m'a apporté un épanouissement personnel que je n'aurai jamais imaginé obtenir au début des consultations. Même si c'est dur parfois, ça vaut le coup de le faire. "

Viviane " J'ai consulté un pédopsychiatre pour m'aider à gérer une crise familiale lors de mon divorce pour ma fille aînée qui avait alors quinze ans et qui tenait des propos lourds de griefs envers moi. Me contenter de les contrer ou de les nier nous aurait amener à renforcer le conflit alors que ma démarche en l'amenant consulter l'a convaincue que je tenais compte de son malaise et nous a permis de continuer à fonctionner en famille même si 8 ans plus tard tout n'est pas encore simple entre nous. "

X " en visite en famille chez le psy (mon mari, mon fils de 12 ans et moi-même)pour le comportement inattentif (avec risque d'echec scolaire)de mon fils, il s'est avéré finalement que j'y étais sans doute pour quelque chose. J'ai donc fait 1 an de thérapie (on a parlé, on m'a aidé à trouver des solutions et après cette période, les relations parent-enfant se sont nettement améliorées. (car il faut dire qu'elle s'étaient nettement effritées, pour en arriver parfois aux mains). A ce jour, 6 ans après, les réflexes "psy" sont toujours d'actualité. Il y a des gestes d'amour qui sont là au quotidien alors qu'avant ils étaient ou réfrénés ou absents. Le bilan est très positif, mon seul regret est de ne pas être y allée plus tôt. Mais pour cela il faut être prêt à entendre certaines situations du passé qui peuvent resurgir. Mais c'est avec ce passé que l'on construit l'avenir. "

Anonyme " en longue dépression (20 ans) après arrêt de l'alcool et des problèmes professionnels (et, bien sûr familiaux !) et un passage en clinique psy, j'ai vu durant un an une psy(chiatre) type analyste à 60 km de mon domicile. KATA !!!..j'aurais besoin d'un comportementaliste (conventionné) mais j'habite dans une campagne agonisante et seule l'ostéo cranienne me permet en préventif de ne pas plonger (+traitement d'entretien)...Je serais prête à m'investir mais dans ce contexte et avec des moyens modestes, je dois me contenter d'avoir un ostéo fantastique !!! "

Anonyme " a cause d'une depression grave du a des problemes lies à l'enfance ..ai reussi a reprendre ma vie en main et a vivre avec mes fantomes ..je suis bien "

Anonyme " 1 seule séance... "

Anonyme " 1 visite, qui n'a pas été suivie d'autres . m'a aidée à me poser et à répondre aux problèmes que j'avais à l'époque "

Anonyme " 2 psy desastreux,..la dernière tres bien mais une fois les consultations arrétées le problème reprend "

Anonyme " à un moment donné de ma vie, j'ai fait une grave dépression. J'avais besoin d'un soutien médicamenteux et par la parole. cela a été un grand bienfait grâce à tout çà combiné et avec un bon psychiatre, je m'en suis très bien sortie. Restant fragile je ne suis pas à l'abri d'autres dépressions...ANONYME. "

Anonyme " accepter son histoire, s'accepter soi même, faire face voilà le bilan "

Anonyme " Actuellement en psychothérapie seulement depuis ce mois-ci pour problème d'angoisse, dépression et problèmes professionnels "

Anonyme " Anorexique depuis 10 ans j'ai tété hospitalisée dans un centre spécifique et suivie pas un psychiatre. Résultat: les problèmes psychologiques sont en voie de résolution et les troubles mêmes du comportement alimentaire sont résolus. Il subsiste une fragilité, certes, mais le suivi personnalisé avec le psychiatre (une fois par mois) permet de tenir le coup et d'éviter la rechute. Bilan: une expérience très, très enrichissante sur le plan intellectuel et affectif, et le sentiment de pouvoir redevenir "normale". "

Anonyme " Apaisement. "

Anonyme " après avoir souffert quelques années, cette expérience m'a été salutaire et s'il y avait rechute, je n'hésiterais pas à reconsulter sans attendre "

Anonyme " après beaucoup de temps, on est devant des évidences, que tout le monde savait sauf nous. "

Anonyme " Aucun effet sur moi-même, par contre une accession aux autres de la connaissance de moi-même... "

Anonyme " Aucun nul "

Anonyme " Belle aventure . J'ai pu passer à autre chose "

Anonyme " bénéfique malgré des moments trés difficiles "

Anonyme " bilan mtigé j'ai progressé par moi même dans ma vie "

Anonyme " Bilan positif mais c'était il y a 6 ans et ma situation n'est plus la même aujourd'hui "

Anonyme " Bilan positif, confiance en soi retrouvée, stress mieux géré "

Anonyme " C,est une aide précieuse, elle permet d'avoir un regard juste sur nos expériences, notre vécu. C'est une excellente façon d'apprendre beaucoup sur les autres et sur soi même. Apprendre à gérer nos contraintes, à placer nos limites .....Bilan Hyper positif "

Anonyme " ça a resolu le probleme d'ordre affectif qui m'avait amenée à consulter "

Anonyme " Ca fait du bien de parler à qq'1 exterieur à l'entourage dont on accorde aucune importance au jugement...J'y suis aller que 2 fois mais ça m'a permis de dire des choses que je ne pouvais dire à presonne et aussi de me rendre compte que ma tristesse n'avaient rien d'anormalle apres tous les mauvais moments que j'avais passé et cela est rassurent ! "

Anonyme " Ca m'a permis de comprendre mieux mes comportements, et d'être plus en adéquation avec ce que je suis réellement. "

Anonyme " ça permet de se poser les bonnes questionset d'aller à la recherche de son propre bonheur sans culpabilité. "

Anonyme " Ce médecin m'a permis d'identifier mes douleurs, traumatismes qui, issus le plus souvent de la petite enfance, conditionnaient des réactions et comportements inadéquats par rapport à mes désirs profonds. Il m'a appris à les comprendre, à les accepter et à m'en défaire pour vivre mieux. Mais au delà de ce travail à deux, il faut bien sur le continuer soi même. "

Anonyme " Cela a changé ma vie ! J'y ai gagné la confiance en moi, une meilleure connaissance de moi-même et des autres. Une meilleure prise en compte de ce que je suis, de ce que je vaux et de ce que je veux. Plus de respect de moi et des autres. Plus d'amis, plus de réussite, plus d'activité, une vie, un travail plus intéressant. En bref, je n'ai pas changé mais j'ai tout changé autour de moi pour mieux. "

Anonyme " cela m'a permis de faire un bilan, me remettre en question et essayer d'adopter un comportement plus adéquate dans mon quotidien "

Anonyme " C'est une chance de pouvoir suivre une psychanalyse ! Elle m'a permis de me découvrir, de découvrir mes désirs, mes attentes, et de changer radicalement, de devenir enfin moi-même. "

Anonyme " C'est une renaissance... J'y est appris les choses essentielles. J'ai appris à être "

Anonyme " cinq années d'un travail constructif, positif mais qui m'apprend une chose : on n'échappe pas à soi-même. "

Anonyme " Déja, rien que le fait de se savoir écouté est important...Mon problème n'était pas très grave, donc ! "

Anonyme " des révélations, des éclaircissements, un grand chamboullement pour se reconstruire plus solidement sans les mauvaises choses et les choses qui parasitent... se débarasser des traumatismes du passé. "

Anonyme " Des séances avec une psychologue, dans le cadre de "Développement personnel" m'ont aidées à trouver par moi-même les différentes clés à mes problèmes et en découuvrir les réponses. "

Anonyme " Difficile de pousser la porte d'un médecin d'abord, pour lui demander clairement de l'aide, mais c'est déjà un grand pas, car à ce stade, accepter de se soigner est difficile, en pleine dépression... ..Les médicaments donnés par le médecin n'ont pas eu bcp d'effet, et je sentais qu'il fallait que j'extériorise certaines choses. Je me suis donc dirigée ensuite vers un spychiatre...Aprés deux ans de traitement, je vais beaucoup mieux, rien à voir. Sauf quand par exemple j'oublie de prendre mes médicaments, là , c'est autre chose, ce qui vous fait comprendre aussi que la depression est une maladie, que vous ne contrôler pas vraiment... "

Anonyme " Durant ma 2ème grossesse, de multiples souvenirs du passé me revenaient à l'esprit. J'étais troublée, comme perdue, sans cesse à me questionner et ces visistes chez la psychologue m'ont aidée à trier mes souvenirs (pas toujours très bons), et à les analyser...Quand des situations semblent floues, c'est bon d'avoir l'avis sérieux d'une personne extérieure sur la chose et même si l'on n'est pas toujours d'accord, c'est toujours positif de mettre à plat les problèmes que l'on rencontre. "

Anonyme " Effet bénéfique, aide à se poser les bonnes questions en toute objectivité "

Anonyme " effet positif "

Anonyme " Effet positif, ca aide a voir c'est problème, se poser les bonnes questions, et y réfléchir. Relativiser nos problèmes. "

Anonyme " en cours...sensation de mieux etre "

Anonyme " en début de thérapie actuellement depuis 3 mois.Le bilan est très positif même si je pense avoir une bonne marge de progression encore en vue d'atteindre le bien être recherché. "

Anonyme " En période de doute et de déprime (problèmes professionnels, familiaux), le psy m'a permis de relativiser mes problèmes et m'a apporter une vision externe à mes problèmes. C'était un moment où je devais exprimer ce que je ressentais pas toujorus facile ou agréable. Ce n'étais pas non plus une analyse lourde, je n'en étais pas prête. Le bilan a été une prise de conscience de faire changer certaines choses et peut être le besoin de faire un travail sur moi plus approfondi. Toutefois,le courage est nécessaire et surtout l'envie de faire changer sa vie quand on entreprend une telle analyse. Le seul poitn négatf a été mon traitement médicamenteux, suivi pendant 1 an et demi (dont 6 mois de sevrage!) "

Anonyme " En psychanalyse depuis 4 mois suite à une rencontre destructrice avec un pervers narcissique dont j'ai eu la bonne idée de tomber amoureuse et qui m'a piétiné le coeur, puis utilisé mes amies pour m'atteindre... Coup de chance ma psy est diplômée de victimologie. Les deux premiers mois m'ont permis de me décrocher de cette relation destructrice qui avait déteind sur le reste de ma vie (amies sous influence aussi, qui ont fini par me trahir, un moment très pénible de ma vie). J'aurais pu m'arrêter là maintenant que je vais mieux et que j'ai compris, mais j'ai décidé de continuer et de suivre une psychanalyse afin d'apprendre à mieux me connaître. Car ne croyez pas les gens qui se disent forts s'ils n'expriment jamais leurs émotions : ils se les cachent à eux mêmes car elle leur font trop peur. La vraie force intérieure c'est de se regarder en face, pas de se persuader qu'on est fort en verrouillant ses émotions pour ignorer la douleur. Bilan jusqu'à présent : plus de joie de vivre, de projets, de sensation de liberté et d'indépendance affective. Tous les êtres humains équilibrés sont raisonnablement névrosés, la psychanalyse devrait être obligatoire pour tous, et pas seulement pour les cas graves (dont certains, tels les pervers narcissiques, n'admettront jamais qu'ils sont malades, continuant de détruire les gens qu'ils croisent pour essayer de survivre eux mêmes). "

Anonyme " En quatrième, j'ai fait un voyage en Afrique qui c'est super mal passé. Après être aller voir le psychologue pendant au moins 3 ans, ça allait ensuite beaucoup mieux. Il ne donne pas de solution miracle, mais il aide à ouvrir des voies auxquelles on n'avait pas pensé tout seul. "

Anonyme " génial, c'est comme de la philo en mille fois mieux "

Anonyme " Globalement une bonne experience, benefique. Ca m'a permis de me rendre compte de mon probleme, de m'en degager et de m'en eloigner au fur et a mesure. C'etait absolument l'option a choisir ! "

Anonyme " heureusement que j'en ai vu un. J'étais agoraphobe et aujourd'hui ça va beaucoup mieux, maintenant j'arrive à me canaliser. "

Anonyme " histoire de soutenir ma fille qui faisait de l'anorexie "

Anonyme " hyper positif "

Anonyme " il m'a aidé à atténuer des périodes très traumatisantes de mon existence et l'idée que des progrès pourraient être faits même si rien ne pouvait s'effacer "

Anonyme " Il m'a aidé à voir plus clair, à prendre des décisions. Bilan positif. "

Anonyme " Il suffit juste de trouver la bonne personne... "

Anonyme " Inutile, car à chaque fois que je sortais de là je retrouvais tous mes problème intactes. "

Anonyme " J'ai appris à me poser les bonnes questions, et à prendre du recul par rapport à mes problèmes. "

Anonyme " J'ai arrêté aprés 6 mois d'analyses: j'ai continué ma psychanalyse par l'écriture car je n'arrivais plus à exprimer mes peurs face au psy. "

Anonyme " J'ai consulté un psy 2 ans après la mort de mon père, à un moment où je revivais mon deuil d'une façon très violente. Je suis allée demander de l'aide. Après 1 an, je peux dire que je n'ai pas l'impression d'avoir été aidée par un psy. Il a été une oreille pour moi, amicale, très simple, très déculpabilisante. Je pene que je n'aurais pas supporté non plus d'être traitée comme une malade. Bilan positif donc, quoique je doute qu'il m'ait été d'une aide plus professionnelle que ne l'aurait fait une amie... ? "

Anonyme " J'ai consulte un psy au bord de la depression j'ai choisi l'hypnose car je voulais vraiment guerir et c'etait plus rapide et ca ete formidable ! j'ai continue un bon moment pour mieux me connaitre et etre vraiment moi et savoir exactement ce que je voulais et je suis tres contente du resultat. je recommande fortement par contre trouver le praticien qui nous convienne le mieux est le plus difficile au debut il faut tatonner mais on se fait vite son idee. "

Anonyme " J'ai déjà été suivie pour une phobie des hypermarchés et le problème fut relativement vite réglé. La thérapie a duré ensuite plus de deux ans parce que ce symptôme cachait un mal être général. L'hypnose a été employé plusieurs fois et a donné de bons résultats sur la confiance en soi. "

Anonyme " j'ai éclairci les relations avec ma mère "

Anonyme " j'ai été amenée à chercher de l'aide auprès d'un psy ne voulant pas avoir recours à des traitements médicamenteux (anti-dépresseur, somnifère...)à une période de ma vie difficile. J'ai suivi pendant un an une psychothérapie individuelle puis en parallèle pendant quatre ans, une psychothérapie de groupe : j'avais besoin d'exprimer une souffrance, ce que j'ai fait avec du mal au début et puis plus facilement ensuite grâce à l'écoute et à l'échange que j'avais avec ma psychothérapeute. Très rapidement, j'ai réussi à voir des effets positifs, bien que lucide car tout n'était pas réglé, et à arriver à envisager une vie "normale" avec ses hauts et ses bas. La psychothérapie de groupe m'a aussi permis de remettre les choses à leur place (au regard d'autres vécus) et de dédramatiser ma situation. J'ai, encore aujourd'hui, un souvenir très fort de moments vécus pendant ces séances, ainsi qu'en mémoire des conseils, des analyses de fait et de réaction qui me reviennent et me permettent de réagir de manière plus sereine et ce, même dans mon domaine professionnel (ce qui n'était pas la raison de ma consultation). "

Anonyme " j'ai été suivie par un psy à la suite de ma deuxième grossesse. cette grossesse s'était très mal passée puisque j'avais été malade (nausées et vomissements, malaises, vertiges) pendant 9 mois, et à la suite de la grossesse (les premières semaines après l'accouchement) ces malaises ont continué voire empiré. j'ai conulté un psy à ce moment là, que j'ai vu une fois par semaine pendant 4 mois, et qui a accompagné son traitement "par la parole" de médicaments anxiolitiques légers et de prozac puisque j'étais en fait et ce dès ma grossesse déprimée sans le savoir (ou plutot sans "vouloir" le savoir.. allez admettre que vous etes déprimée quand vous attendez un enfant!)la conjugaison de la thérapie "parole" et de l'effet des medicaments m'a permi d'abord de me calmer et d'appaiser mon angoisse extrèmze face aux malaises divers que je ressentais et qui m'occupaient l'esprit à longueur de temps, puis lorsque je me suis sentie moins angoissée, de comprendre pourquoi je m'étais sentie si mal au cours de cette grossesse...le bilan de cette courte thérapie est très positif et je n'hésiterai pas à renouveller l'expérience ultérieurement si besoin est.....j'ai également consulté une fois un pedopsy pour ma fille qui avait 3ans à l'époque) et j'en ai été très satisfaite aussi.....je crois qu'il ne faut pas tout en attendre mais qu'une aide psychologique peut vraiment être utile. "

Anonyme " J'ai été suivie par un psy quand j'étais plus jeune car je stressais pour mes examens. J'ai notamment testé la sofrologie. Je n'arrive pas bien à évaluer l'impact que cette méthode a eu sur mon niveau de stress. En tous les cas je me souviens qu'à la sortie de chaque séance, j'étais complètement vidée et détendue. "

Anonyme " j'ai ete suivie par un psycho et un psychiatre suite à une depression nerveuse. C'est tres enrichissant de parler avec quelqu'un d'exterieur a la cellule familliale. Il est objectif, ecoute beaucoup sans juger et nous amene a nous poser beaucoup de questions sur soi.personnelement cela m'a beaucoup aidé, malheureusement j'ai arrete trop tot et je ressens aujourd'hui un enorme besoin d'y retourner avant de resombrer à nouveau. "

Anonyme " J'ai été voir un psychiatre pendant trois mois. ca a été très dur sur le moment, peut-etre pire qu'avant, mais finalement au bout de 6 mois je me suis sentie beaucoup mieux, comme si j'avais enfin trouvé une autre voie après avoir été si longtemps bloquée dans un mur de soufrance. "

Anonyme " j'ai fiat une depression, j'ai donc été suivie par un psychiatre, plutot pour le coté médicaments, et par une psychotérapeute. Le traitement a été long, je m'y rendais plusieurs foispar semaine mais ça m'a fait beaucoup de bien...Le plus dur est de faire le premier pas, ca, bien sur, allez chez un "psy" fait penser que l'on est fou, on qu'in appelle à l'aide quelqu'un de completement exterieur.. Mais c'est bien différent il ne s'agit pas de folie, mais d'une grande perte de repère qui a des influences néfastes sur soi meme et son entourage. Quant à fairee appel à quelqu'un d'exterieur, c'est mieux pour tout le monde!!..Après, il faut faire bien attention, notamment pour les prescritions médicamenteuses. Mon psy était très bien pour cela, il a attendu un certain temps avant de me prescrire quoi que ce soit, mais certains le font tout de suite, à la demande (ou pire, des médecins prescrivent des anti dépresseurs, alors que ces medicament doivent etre couplés à une thérapie)..Voilà mon expreience, j'aurais aimé pouvoir l'éviter mais cela a été très bénéfique pour moi "

Anonyme " J'ai parlé et exprimé mes sentiments, ce qui m'a aidé à comprendre et trouver des solutions. Maintenant cela va beaucoup mieux. "

Anonyme " j'ai pu ouvrir les yeux sur la situation dans laquelle je me trouvais et surtout trouver la force d'en sortir. "

Anonyme " J'ai remonté la pente "

Anonyme " J'ai suivi une psychothérapie à 15 ans jusuqe mes 18-19 ans...Cela m'a beaucoup apporté et aidé.J'ai pu prendre du recul sur mes problèmes et sur ma vie en général, j'ai pui comprendre mes comportements et ainsi essayer de les modifier.Je pense que je suis plus épanouie aujourd'hui grâce à ces annés de travail sur moi-même. "

Anonyme " J'ai suivi une thérapie de groupe lors d'un séjour à l'hôpital et je suis actuellement une psychothérapie avec un psychiatre. Je vais aussi voir de tems en temps un hypnothérapeute. Toutes ces thérapies apportent des soutiens différents et m'ont personnellement énormément aidées. "

Anonyme " J'attenddais de une aide morale, aprés avoir parlé de mon enfance et du passé, je ne savais plus quoi dire... j'ai été trés déçue et je ne recommencerai jamais "

Anonyme " J'avais besoin de parler... "

Anonyme " Je le recommande à tout le monde sans exception, j'en suis ressortie plus que mieux! "

Anonyme " je m'aime plus, mais défois on creuse pour rien et on a plus de peine mais ca dépend du psychologue, un psychologue doit être très empathique, fiable et sympathique pour moi, "

Anonyme " je me suis découverte, j'ai apris à me connaître et à comprendre ce qui m'animait "

Anonyme " je me suis sentie toute suite mieux autant dans ma tête qu'avec les autres,et cela a permis a mes vieux "fantômes" de partir! "

Anonyme " je n'ai pas fini ma thérapie "

Anonyme " Je n'ai pu y aller que deux fois faute de tarif trop élevé "

Anonyme " je ne peux pas encore faire le bilan, je suis "en plein dedans". ca me parait en tout cas extrêmement positif. "

Anonyme " je pense que je suis tomber sur un mauvais psy car il ne fessait que m'ecouter et cela ne me plaisait pas du tout j'ai donc arreter "

Anonyme " Je suis actuellement au début d'une psychothérapie et pour le moment je pense qu'il faut être patient "

Anonyme " Je suis aller voir pendant plus d'un an un hypnotiseur. Ce suivi m'a permis de passer au-dessus de contraintes et de colères que j'avais en moi. Depuis je vis de façon beaucoup plus libérée qu'avant. Bien que je pense avoir encore des progrès à faire. "

Anonyme " je suis en cours de psychanalyse. Depuis 1 an. Et j'ai déja avancé pas mal, mais ça prends beaucoup de temps. "

Anonyme " je suis en traitement depuis de nombreuses années,le plus difficile est d'admettre que l'ont à besoin d'aide ,la dépression c'est TERRIBLE... "

Anonyme " Je suis encore suivie par ma psy et tout va pour le mieux "

Anonyme " Je suis suivie par un psychothérapeute pour m'aider à avoir un enfant...En effet depuis 2 ans avec mon mari on essaye d'avoir un enfant sans réel succés. Le psy m'a aidé jusqu'à maintenant à exprimer et déposer des choses que j'avais en moi. Après 8 mois de psychothérapie je me sens mieux dans ma peau et plus sereine à l'idée d'avoir un enfant. "

Anonyme " Je suis suivie pour la 2è fois.C'est le seul moyen de s'en sortir, avec les médicaments,en dépression profonde. "

Anonyme " je vais mieux !!!! "

Anonyme " J'empruntais tous les matins l'autoroute Aix-Marseille, je partais 10 minutes après mon fils âgé de 19 ans...L'autoroute était surchargé et les bouchons trés nombreux. Dés que la circulation était interrompue, je ressentais une angoisse et je priais pour que mon fils n'ait pas était accidenté. Si le véhicule impliqué dans l'accident était de couleur rouge comme la sienne, je criais tout en pleurant...Lorsque ces crises sont devenues journalières j'ai décidais de consulter un psy. ..Le médecin m'a proposé des séances de relaxation, que le praticien ne commençait qu'aprés avoir reçu ma réponse à la question qu'avez vous à me dire ? (ou quelque chose de ce type) ..Quelquefois ma réponse venait rapidement et nous passions de suite à la relaxation et d'autres fois ma réponse entrainait une autre question et cela durait toute la durée de la consultation. J'ai appris à parler, à me livrer, à me relaxer à moins culpabiliser, à accepter de moins vouloir être une mère, une épouse et une fille parfaite. J'ai réalisé que j'étais une malade de la perfection, pour mes enfants et pour moi...J'ai compris que les autres ne changeraient pas et que je devais donc changer moi même...Aprés un an je me dominais sur la route, je me disais restes cool, c'est juste un ralentissement, à cette heure aucun des enfants n'ait par ici. Ou bien je me disais tes enfants sont prudents etc....Le médecin m'avait expliqué que ma réaction n'était pas anormale, mais une conséquence du décés récent de mon père...Lorsque l'on perd un ascendant, la pire des choses qui puisse arriver serait de perdre un descendant. Il fallait donc que je fasse mon deuil de ce père trés aimé...Bilan : Cela m'a apporté un peu de confiance en moi, j'ai un peu laché mes enfants et cela a détendu nos relations...Mais surtout j'ai vu mon petit dernier âgé à ce moment de 11 an, s'épanouir et devenir plus à l'aise et heureux. Je pense que mon attitude a du changé, inconsciemment et je ne sais dans quel sens...Dix ans aprés, mes relations avec mes enfants sont très heureuses et lorsque je ressent des tensions et des incompréhensions avec mon époux, je suis très tentée de refaire une série de séances car je sais qu'elles m'apporteraient de la confiance en moi et réduiraient cette culpabilité que j'ai sans raisons valables...Mais mon mari n'a pas trop apprécié à l'époque et il faudrait encore me justifier...Eh oui, le travail n'est jamais fini... "

Anonyme " J'en sors grandie, plus sereine, et plus en paix avec moi-même et les autres. "

Anonyme " j'étais adolescente, elle m'a juste fait passer des tests pour évaluer mes capacités intellectuelles car j'avais quelques difficultés en classe. Résultat elle m'a juste dit que j'étais au dessus de la moyenne mais ça n'a pas changé grand chose. Je n'y suis jamais retournée. "

Anonyme " J'étais dans une grande détresse, et j'ai pu, grâce à un soutien psychiatrique, tout d'abord en centre de soin, puis régulièrement tous les 15 jours, m'en sortir en moins d'un an. "

Anonyme " juste après une TS. Décevant, elle n'écoute pas et ramenait tout à mes parents "

Anonyme " juste une fois, très bien: rentrée en pleurant sortie avec le sourire après une dépression passagère, il m'a dit de changer de voiture ce que j'ai fait et tout était rentré dans l'ordre. "

Anonyme " J'y suis allée 1 fois, sur avis de mon médecin,..je n'y suis jamais retournée. Je m'en suis sortie à force de volonté "

Anonyme " l effet de pouvoir parler a un psycholoque c est qu aprés la seance on se sent beaucoup mieux tout le poids qu on porté sur les epaules jusqu a maintenant a dipparut.on se sent libéré plus heureuse..bref c est vraiment genial "

Anonyme " La thérapie n'étant pas terminée, il m'est difficile de faire un bilan. Je peux tout de même dire que j'ai avancé sur de nombreux points mais j'ai encore beaucoup de choses à travailler. "

Anonyme " la thérapie suivie depuis mars 2003 dure encore (1 seance par semaine)trop tôtpour un bilan malgeré tout. mais çà fait du bien de ne pas parler à la famille ou des amis de ses malaises. "

Anonyme " Le plaisir d'avoir enfin quelqu'un qui ne fait que vous écouter sans vous dire "moi aussi..." . La parole qui permet de débloquer des situations douloureuses à vivre. Cela ne les efface pas, mais apprend à vivre avec...Que du bon, même si le chemin est parfois difficile avec de grosses crises de larmes et des moments de doute terrible !..A recommander à tous ceux / toutes celles qui ont l'impression de piétiner dans leur vie. "

Anonyme " L'effet est bénéfique. par contre, une psychothérapie c'est long, et pour aller mieux, il faut en général plusieurs semaines, voire plusieurs mois. Le bilan est positif et si ça va mal à nouveau, j'y retournerai sans hésiter. "

Anonyme " Les effets sont positifs en suivant régulièrement des séances et si le contact entre vous et votre psy passe... "

Anonyme " l'introspection a ses limites : on n'emprunte que les chemins qu'on connait et on répète à linfini les conduites d'évitement de ses réelles difficultés. L'intervention neutre et bienveillante d'un professionnel permet d'identifier les causes réelles de ses difficultés et nous met en face des réalités qu'on ne peut pas voir seul. Ausurplus, le professionnel est capable de vous amener là où sont les difficultés, pas là où on croyait qu'elles étaient. C'est un métier ! "

Anonyme " lors d'une hospitalisation après en suivi j'ai arrêté car je n'aimais pas nos rapport, surtout son silence, pratiquement pas de questions de sa part, "

Anonyme " Lorsque je n'ai plus su à qui parler de mes souffrances, de mes angoisses, je me suis adressée un psy! Pour la première fois depuis très longtemps, j'ai enfin pu vider mon sac. J'ai pleuré beaucoup...je continue d'y aller régulièrement, car je sens que j'en ai encore besoin. mais petit à petit, les séances s'espaceront d'elles même. Je sais que je n'hésiterais pas à y retourner si j'en ressentai le besoin!..C'est très facile finalement de pouvoir dire tout ce que l'on a sur le coeur à une personne qui ne vous jugera pas, avec laquelle vous n'avez aucun lien affectif ou familial, et qui ne vous juge pas! "

Anonyme " Ma psy était très à l'écoute. Elle m'a aidée à surmonter mes difficultés du moment. C'était une rencontre intéressante. J'ai appris à mieux me connaître, et ainsi à vivre avec ce que je suis. "

Anonyme " meilleure qualité de vie par la suite, possibilité de faire des choses que je m'interdisais avant "

Anonyme " mieux être global et facilité à gerer les problèmes et angoisses quand ils arrivent "

Anonyme " Modification de certains comportements, meilleures prises en compte des besoins personnelles... "

Anonyme " moins d'angoisse plus dejoie de vivre "

Anonyme " N'a pas tout résolu, mais a été un soutien efficace. "

Anonyme " négatif : suis tombée sur qq'un qui n'écoutait pas, qui ne vous garde pas une minute de plus que le prévoit le timing (même si ça ne va pas) et le tout pour 70 euros... "

Anonyme " nul, pas de dialogue: 30 min de monologue pénible et un chèque à la fin "

Anonyme " ON REPREND CONFIANCE ON SE SENT MIEUX DANS SA PEAU PLUS FORTE POUR REPARTIR LE COMBAT DE LA VIE "

Anonyme " Oui. J'ai beaucoup avancé dans ma vie, même si ça m'a beaucoup remuée. "

Anonyme " Par 2 périodes :..la première fois, j'ai cessé car je n'étais pas prête à aborder le sujet auquel on commençait à toucher...La seconde, j'étais mieux préparée, je savais à quoi m'attendre et le résultat fut plus fructeux.....Bilan : mieux dans ma vie, mieux avec les autres, plus honnête envers les autres et moi-même. J'appréhende moins TOUT, je sens plus les évènements arriver et j'ai plus de recul pour les affronter. J'ai compris beaucoup de choses sur ce qui m'est arrivé, ce qui est arrivé aux membres de ma famille (mes parents entre-autres), j'ai mis du temps à les accepter et vivre avec. Aujourd'hui je suis assez détachée émotionnellement des évènements familiaux sans y être indifférente...J'ai fait tout cela pour bien vivre avec la famille que j'ai choisi (mon mari et ma fille), pour ne pas refiler les "valises" à mes enfants, pour ne pas reproduire les seules choses que je connaissais, pour être heureuse, rendre ma famille heureuse... ça a eu un impact aussi sur le comportement de mon mari.....tout baigne! Je suis prête à y retourner si j'en ressens la necessité, après coup, quand le plus gros est passé que je commence à reprendre mes repères : c'est plutôt ma méthode...Il est vrai que désormais je me pose plus de questions, que je décortique un peu plus les choses . mais ce n'est pas un mal puisque ça m'a rendu plus tolérante (alors que je m'imaginais l'être déjà !) "

Anonyme " pas de resultat, a l'heure actuelle toujours aussi angoissee... "

Anonyme " pas de suivi "

Anonyme " pas d'effet ni de bilan car trop peu de séances. "

Anonyme " pas envie de parler et au final un renvoi du phy.... j'etais enfant et je n'arrivais pas à comprendre ce qu'il voulait et lui à me faire parler!! depuis je ne vois pas l'utilite d'aller consulter du moins en ce qui me concerne mais si mes enfants en avaient besoin pourquoi pas!!! ce fut un echec total pour moi ... mais!!! "

Anonyme " pas suivie juste consulté et ça a eu comme effet de me rassurer "

Anonyme " pas terrible je pense que ca n'etait pas le bon "

Anonyme " permet de mieux se comprendre de mieux comprendre les autres "

Anonyme " peu convaincant car mauvais feeling "

Anonyme " peu de temps. Juste celuide constater que ceux ci "detectent" la cause de la crise mais pas la solution de la surmonter ou de la depasser "

Anonyme " peu d'effet, peu de bilan car ponctuel "

Anonyme " plus lucide, plus positive "

Anonyme " plus que bénéfique "

Anonyme " POSITIF "

Anonyme " Positif sur les problemes à résoudre et trouver leur solution par moi meme grace à ces consultations "

Anonyme " Positif sur les problemes à résoudre et trouver leur solution par moi meme grace à ces consultations "

Anonyme " positif, aide à mieux se comprendre, à se poser les bonnes questions et à trouver certaines réponses. Personnellement j'arrive à mieux relativiser et a essayer de ne plus tomber dans le pessimisme le plus profond "

Anonyme " positif, mais difficile de retrouver quelqu'un de compétent quand on change de région. Autant être étudiant car ça prend également beaucoup de temps "

Anonyme " possitif.cela m'a permis de faire le deuil, et de mieux comprendre les elements de mon passé. "

Anonyme " pour dépression..très bons résultats "

Anonyme " pour des problèmes existenciels et sentimentaux, si le choix du praticien est bon, le fait d'être écouté et non jugé et parfois conseillé ne peut être que profitable, bien sûr cela ne résoud pas les problèmes mais aide à les comprendre et à prendre du recul par rapport aux évènements. "

Anonyme " Pour le moment, ca enleve certains verrous, provoque des declics. Je conseille ! "

Anonyme " pour un probleme de couple, il s est avere que cette demarche etait utile pour mon mari "

Anonyme " Prise de conscience de la situation, mais finalement pas tres efficace apres cette prise de conscience.... "

Anonyme " Psychothérapie en cours "

Anonyme " que du bien, donc je continue "

Anonyme " QUE DU POSITIF "

Anonyme " Que du positif! On se decouvre soit, et on acquiert un sentiment de liberté qd on se libère de certains de nos conditionnements. "

Anonyme " reconstruction, libération des ancrages,..alignement entre ce que je suis, ce que je pense, ce que je fais. "

Anonyme " Résultat positif m'a permis de règler certains problèmes personnels. .. "

Anonyme " résultat positif sur le long terme "

Anonyme " très bien "

Anonyme " trés difficile de trouver LE bon Psy, ou plutot celui qui vous convient, à partir de la beaucoup d'energie perdue, car il faut parfois du temps avant de réaliser qu'il ne vous aide pas, la vie est une longue histoire et les blessures qui s'y cachent peuvent mettre des mois à sortir... "

Anonyme " Très dur au début mais tres tres positif au final ! Ca devrait presque etre obligatoire pour tout le monde car on a tous des problemes plus ou moins importants. "

Anonyme " tres efficace! "

Anonyme " très long mais très positif "

Anonyme " Tres positif "

Anonyme " trés positif "

Anonyme " Très positif "

Anonyme " très positif - aide à relativiser les choses angoissantes - remise en cause de soi - découverte des blessures intérieures en remontant tout le cours de la vie enfance y compris "

Anonyme " Très positif. Impossible à raconter. Je vais mieux, je vis mieux. Je n'ai plus l'impression de courir à l'échec et je n'ai plus le sentiment d'être responsable de tous les malheurs du monde... "

Anonyme " tres positif. Tout va mieux "

Anonyme " trop courte therapie, "

Anonyme " trop long à raconter, mais on ne peut plus bénéfique ..comprendre soi et les autres "

Anonyme " Trouble Bipolaire/MD = permet de prevenir les chutes et de connaitres ses faiblesses et ses forces afin de les utiliser au mieux contre la maladie "

Anonyme " trs bien "

Anonyme " Un bien être réel à chaque fois que je ressort de chez mon psy, une impression de s'être vidée des choses qui m'empoisonnent et d'y voir plus clair, pour prendre les bonnes décisions et faire en sorte que la vie soit "légère" "

Anonyme " un cadeau de la vie "

Anonyme " un divorce mais je suis redevenue moi-même "

Anonyme " Un sentiment de liberté. On peut tout lui dire sans rien mettre en jeu, par opposition à l'entourage ou aux amis...Ca m'a fait énormément de bien. "

Anonyme " une aide après un deuil...Positif: Une écoute "

Anonyme " Une dépression pour surmenage a décidé au médecin de me mettre sous anti-dépresseurs, le résultat a été pire: insomnie, anorexie, incapacité à m'occuper de mon enfant de 2 ans. Aprés 15 jours de médicaments, j'arrete tout pour voir une psy qui me "guéri" en 10 scéances. Une mise à plat de mon éducation (judéo-chrétienne, dans une famille traditionnelle, dont la mère ne travaille pas) et donc de ma relation aux autres me montre que je demande trop: je ne peux pas être salariée et gerer une maison et des enfants comme l'a fait ma mère... Ce qui pèse et m'a rendue malade, c'est le poids de la culpabilité. Quand je n'avais pas le temps de cuisiner, j'ouvrais une boîte... et je ressentais le jugement de ma mère qui ne faisait que de la 'vraie' cuisine. De même lorsque j'arrivais en retard au boulot a cause du bébé, ou que je tombais de sommeil à 11 heures et que je n'avais pas fini mon repassage... Maintenant je sais que j'ai "le droit" d'être fatiguée, occupée, ou de ne pas avoir le temps. "

Anonyme " une peur et un bien-être à la fois...J'y suis allée car ma fille de 11 ans était un peu trop introvertie...je voulais l'aider et j'ai du pour cela moi même consulter. Le bien être est de parler de choses dont on ne parle pas faute de saouler tout le monde avec ses problèmes "

Anonyme " Une seance... elle m'a dit que je n'avais pas besoin d'un psy! M'a reoriente. Bilan positif. "

Anonyme " une véritable remise en question avec au bout plus de recul sur les choses et la vie "

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