Je suis fatiguée

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Utilisateur anonyme - Modifié le 20 mai 2022 à 12:38
 Utilisateur anonyme - 20 mai 2022 à 15:54

Je suis fatiguée de faire semblant d'aller bien, fatiguée de ne pas être comprise, fatiguée d'être seule mais surtout fatiguée de vivre.
J'ai été harcelé durant mes quatres années collèges (coups, insultes, humiliations, solitude), personne n'était là pour m'aider, personne ne voyait ma détresse... Pourtant, j'ai essayé de parler à mes parents, leur disant que je ne voulais pus retourner en cours, mais ils s'en fichaient. J'étais en pleure toute la journées ainsi que toutes les nuits. Je priais à meinte et meinte reprise pour quitter ce monde, quitter cette souffrance qui me submergeait.

Lorsqu'en troisième, j'ai appris que j'étais atteinte d'un diabète, mes parents étaient là "on ne s'inquiétait pas car les sympromes nous parraisait normal à son âge : fatigue, maux de ventres, faim". Le soucis, c'est que ces douleurs ont durée plus de huits mois, et jamais ils ne ce sont inquiété.

A la fin du collège, une fois le brevet terminé, mes parents ont eu le culot, et aujourd'hui encore,  de me dire ou leurs amis qu'ils savaient que je me faisais harceler, que j'étais mal durant ma scolarité. Alors qu'ils n'ont rien fait pour m'aider.

[...]

Aujourrd'hui j'ai 18 ans, mes années au lycée ce sont passé à merveille. Au début, je me mefiais des autres, pensant qu'ils allaient me faire du mal. J'ai commencé à m'ouvrir à ma classe lors de la 1ère où j'ai eu mes premières amis. Je en suis restée en contact qu'avec une fille avec qui je fais mes études actuellement. Je me suis confié à elle, sur tout ce que j'ai vécu durant mon passé, car j'en avait besoin. Besoin de lâcher tout ce que j'ai sur le coeur au bout de trois ans à se cotoyer.

L'autre jour, je lui ai dis vouloir mourir, que je ne faisais plus attention à ma maladie. Je le disais tellement naturellement qu'elle ne m'as pas prise au sérieux. J'ai l'impression qu'elle se moque de moi, qu'elle se moque de ce que je peux ressentir. Elle a même faillit dvoiler tous mes secrets à une pote avec qui on parle peu, heureusement, j'ai réussi à la stopper à temps.

Au moment où j'écris, mes mains tremblent. Mes yeux sont remplis de larmes et mes cuisses ont subit des coupures. J'ai une boîte de paracétamol en face de moi, je suis presque prête à ranchir le pas. Mais d'un autre côté, j'ai peur de partir, de laisser ma famille en deuil par ma connerie, mais dans l'autre, ils ne voient pas mon appelle "au secour" lorsque je leur dit que je suis fatiguée de vivre, que je souhaites arrêter mon traitement.

Je n'aime pas sortir dehors (dans la rue, boîte de nuit, soirée, etc), je n'aime pas être féminine (robe, short, etc), ni l'alccol ou le tabac, je ne parle à personne et je le vis bien. Mon père dit que je ne fais aucun effort, que je dois prendr esur moi afin de plaire aux garçons afin de ne pas finir vieille fille...

J'ai eu un examen blanc cette semaine, malheureusement je l'ai loupé. Mon père m'a dit la même chose qu'en début d'année lorsque j'ai ratée mon éval : Tu n'as pas assez travaillé, reprend tes cours, je ne vois pas pourquoi je devrais payer tes études si tu te ratte à chaque fois que tu stresses.

Cela fait deux jours que je ne lui ai pas "parler" outre que les bonjours, aurrevoir... Il ne prend même pas la peine de me regarder.

J'ai déjà dit à mes parents que je ne souhaitais pas vivre jursqu'à tard, que je voulais partir seule, au fin fond des montagnes pour ne jamais être retrouvé et ainsi reposé en paix.

Je suis fatiguée d'être malade, faitugée de ne pas être assez parfaite pour mes parents, fatiguée d'être seule et incomprise. Je veux partir d'ici, tout recommencer être quelqu'un ou quelque chose d'autre, avec une vie meilleure et sans problèmes. Je suis fatiguée de faire semblant d'aller bien, tout simplement.

Merci d'avoir lu,

Mictlantecuhtli

1 réponse

Utilisateur anonyme
Modifié le 20 mai 2022 à 15:54

Bonjour 

Merci de poster sur le Forum Santé stp

Clique sur les mots bleu

;)


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