Bonjour, qui parmis vous connait la maladie Spondylarthrite Ankylosante?

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Utilisateur anonyme - Modifié par Anne_rédacJDF le 4/09/2013 à 17:09
 Marie - 6 août 2013 à 20:02
Bonjour, qui parmis vous connait la maladie Spondylarthrite Ankylosante ?

4 réponses

Enfin des infos qui sont claires,,merci je souffre enormement,difficulte a marcher,le cote gauche est plus penible mais des fois le cote droit aussi commence a faire tres mal,,c est comme une sciatique,cela fait au moins 3 mois que je subis cette douleur intense qui descends ds ma jambe aussi et la fesse jusqu a l aine .

quelques annees passees on m a diagnostiquer une sacro iliite bilaterale mais le medecin ne m a rien donner pour,je prends du lyrica au coucher pour la fybromialgie et je prends des medicaments pour haute pression,c est tout .

la ca ne me donne aucun repit ,je suis decouiragee et j ai peur a la depression,le mal ne me quitte pas,aussi je soupconne que je suis diabetique.

Ici au canada difficile de voir son medecin,

Je nous souhaite a tous du repit
merci pour les infos
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bonsoir rachel,
je me prénomme gwendoline, je suis atteinte de spondylarthrite ankylosante depuis deux ans. les medecins ont mis 9 mois a me diagnostiquer la maladie,
aujourd'hui je suis hospitalisee tellement la douleur est intense,
pour t'aiguillée sur la possibilité de traitement je suis passer par des anti inflammatoire paracetamol codeine morphine,
aujourd'hui on me parle de biotherapie c'est un traitement apperement bien connu en france ,

si ces infos peuvent éventuellement t'aider,
si tu as besoin de parler n'hesite pas à me contacter .

bonne soirée
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Utilisateur anonyme
15 oct. 2008 à 22:58
Merci pour vos réponses. Je me suis mal exprimée, je suis atteinte par cette maladie. Je voulais savoir qui comme moi en souffrait.
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Utilisateur anonyme
27 avril 2009 à 09:25
Bonjour Malheureusement je suis tt comme vous atteinte de cette maladie depuis fin d'année! Je ne sais pas comment vous le vivez vous mais moi il y des jours ont c'est très dur surtout moralement, j'ai 21 ans et la sperpective du futur avec cette maladie me fait peur, peur de ne pas avoir une vie professionnelle normal, peur de ne pas pourvoir avoir plusieurs enfants toujours cette peur de dépendre des autres par la suite! Je suis suivi par la clinique de chenieux à limoges par un tres bon rhumato, c'est une deja une chance pour moi de savoir de quoi je souffre et d etre prise a temps tres vite puis ce que je suis reconnu en ald par la secu depuis mon hospitalisation! Aujourd hui je suis à la recherche de gens qui souffrent de cette maladie pour partager les vécus et se soutenir, ce n est pas toujours facile de vivre avec surtout moralement!!! bon courage à tous ces malades courageux sabrina
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Utilisateur anonyme
15 oct. 2008 à 15:34
La spondylarthrite ankylosante (pelvispondylite rhumatismale, spondylose rhizomélique) [?] Qu'est-ce que c'est ? C'est une maladie inflammatoire chronique qui touche le rachis et les articulations sacro-iliaques. Deuxième des grands rhumatismes inflammatoires chroniques par sa fréquence et sa gravité, elle est quand même dix fois moins fréquente que la polyarthrite rhumatoïde et n'atteint que 0,1 à 0,2 % de la population. Elle représente 85% des rhumatismes des hommes de moins de 30 ans. Le sujet présente dans 90 % des cas l'antigène HLA B27. Dans 10 à 20% des cas, la maladie est associée à une autre affection : Un syndrome oculo-urétro-synovial (OUS) ; Une maladie intestinale chronique ; Un rhumatisme psoriasique... [?] Les signes de la maladie La spondylarthrite ankylosante débute entre 20 et 40 ans par des douleurs au bas des reins (lombalgies) ou des douleurs dans les fesses dans la moitié des cas. Ces douleurs ne sont pas calmées par le repos mais au contraire sont plus importantes la nuit et le matin au réveil. Elles résistent à l'aspirine. D'autres fois, les symptômes révélateurs sont : Une sciatique ; Des douleurs rachidiennes ; Une arthrite périphérique ; Une douleur inflammatoire du talon. L'arthrite sacro-iliaque est constante : ce sont des douleurs fessières irradiant vers l'arrière des cuisses et pouvant simuler des douleurs de sciatique. Les douleurs lombaires sont fréquentes, accompagnées de raideur surtout matinale, ainsi que les douleurs thoraciques. L'articulation manubri-sternale est douloureuse. Des douleurs du cou sont possibles. Si les hanches sont souvent touchées, toutes les articulations peuvent être atteintes y compris les doigts et les orteils qui sont gonflés. Les autres signes sont : Une iritis ou uvéite antérieure (oeil rouge douloureux non larmoyant soulagé par les corticoïdes) ; Une urétrite non gonococcique (ou une cervicite chez la femme) ; Une diarrhée aiguë contemporaine de l'arthrite ; Une sacro-iléite à la radiographie ; La présence de l'antigène HLA B27 ; L'amélioration remarquable des douleurs par les AINS. Une insuffisance aortique peut être associée. [?] Evolution de la maladie La maladie évolue par poussées. La spondylarthrite ankylosante bloque progressivement les articulations du bas du dos. Dans les cas les plus sévères, elle va jusqu'à souder la colonne vertébrale en un seul bloc. L'évolution se fait en 10 à 20 ans par poussées qui touchent successivement toutes les articulations. [?] Examens et analyses complémentaires La radiologie montre des images d'arthrites. Les lésions sacro-iliaques sont typiques : élargissement de l'interligne, flou articulaire... Les lésions rachidiennes débutent à la charnière dorsolombaire. Il existe des images d'ossification intervertébrale (syndesmophytes) et une calcification des ligaments intervertébraux. Au maximum est réalisée l'image radiologique de "colonne de bambou". Sur le plan biologique, la vitesse de sédimentation est accélérée pendant les poussées. L'antigène HLA B27 est retrouvé dans 90 % des cas. [?] Diagnostic différentiel Le mal de Pott ; La polyarthrite rhumatoïde ; La sacro-coxalgie ; Les spondylodiscites ; la brucellose ; L'épiphysite vertébrale… [?] Traitement Le traitement repose sur le repos, la rééducation fonctionnelle et les médicaments: Le repos est indispensable, en particulier au moment des poussées. La kinésithérapie active avec gymnastique respiratoire et posturale est également très importante pour éviter des déformations. Les médicaments sont déterminants dans le traitement de la crise et éventuellement dans le traitement de fond de la maladie. Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) sont utilisés en première ligne lors des poussées. Une association antalgique de paracétamol et de dextropropoxyphène est parfois prescrite en complément lorsque les AINS seuls sont insuffisants pour réduire la douleur due à l'inflammation. Un traitement local sous forme d'infiltration (injection intra-articulaire) de corticoïdes ou une synovitorthèse (injection intra-articulaire de substances chimiques visant à détruire la membrane synoviale enflammée) sont aussi parfois pratiqués. Dans certains cas (cas très sévères ou pathologie associée : psoriasis, rectocolite hémorragique, etc.), un traitement de fond peut être prescrit. Il est basé sur la prise de salazopyrine ou de méthotrexate ou d'azathioprine ou de ciclosporine. Pour les formes de la maladie qui sont très déformantes et ankylosantes, un recours à la chirurgie orthopédique peut s'avérer nécessaire.
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Bonsoir,

Personnellement, on m'a découvert la maladie en 2008 (ils y ont quand même mis 5 ans sous prétexte que c'était "dans ma tête")...J'ai pris salazopirine, methotréxate etc... puis piqûre d'Embrlelchaque lundi pendant 3 ans environ et là j'en suis a une perf en hospitalisation amulatoire toute les 8 semaines avec Rémicade. Je souffre de + en + dessacro-illiaques côté droit et je suis démoralisée.

Bon courage à vous tous. Je ne vous suis pas d'un grand secours et veuillez m'en excuser.
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